LE QUINZE DU COQ

Rugby - Top 14

08/08/2009 - 07:44

Dusautoir change de statut



Midi Olympique

Avant le début du championnat, notre site vous fait revivre la traditionnelle revue de l'élite Midi Olympique récompensant les meilleurs joueurs de la saison 2008-2009 poste par poste. Retrouvez chaque jour le portrait d'un lauréat. En 3e ligne aile, Thierry Dusautoir s'est définitivement imposé.


On disait qu'il avait passé un cap en 2007-2008. Après avoir explosé aux yeux du monde entier lors du quart de finale de Coupe du monde contre les All Blacks, Thierry Dusautoir avait confirmé tout au long de la saison suivante avec, en point d'orgue, un titre de champion de France avec le Stade toulousain. Mais il a réussi à faire encore mieux l'an dernier, franchissant un nouveau palier en devenant le capitaine des Bleus. En l'absence de Lionel Nallet, il a pris les rênes de l'équipe de France lors de la dernière tournée estivale, marquée par la quatrième victoire du rugby français en Nouvelle-Zélande. L'ancien "garçon timide" de Bègles a pris une autre dimension en 2009-2010.

C'est donc logiquement qu'il a été sacré numéro 1 à son poste par la revue de l'élite Midi Olympique, alors qu'il avait reçu l'Oscar Midol du mois de janvier. Deuxième l'année précédente (derrière Gerhard Vosloo), il est aujourd'hui le meilleur flanker de l'Hexagone. Pour un ancien troisième ligne aile de renom, l'entraîneur de l'équipe de France A Olivier Magne, Thierry Dusautoir est même l'un des meilleurs du monde. "Il est très fort dans le un contre un, dans la récupération de balle, dans sa capacité à être efficace sur les points de rendez-vous quand son équipe a le ballon. Il maîtrise parfaitement son registre, c'est un élément indispensable au XV de France."

Un joueur exemplaire




Si le Toulousain a pris, à 27 ans, une autre envergure, c'est grâce à Toulouse justement. En deux ans dans la ville rose, il a complété son jeu, jusque-là basé sur son omniprésence dans les rucks et ses plaquages destructeurs. "A Toulouse, on m'a demandé beaucoup plus d'investissement dans le secteur offensif, explique-t-il. Avec le Stade, j'ai appris à être au soutien au bon moment pour pouvoir apporter quelque en attaque." Le natif d'Abidjian a ainsi été "l'un des joueurs les plus réguliers de la saison" comme le note son entraîneur en club Guy Novès. Cela n'a pas échappé à son homologue chez les Bleus, Marc Lièvremont, qui lui a fait jouer tous les matchs internationaux depuis sa prise de fonctions, sauf celui contre l'Italie lors du Tournoi 2008. Et en a donc fait son capitaine. Thierry Dusautoir est définitivement entré dans l'histoire du rugby français.

Le Top ten des troisième ligne aile pour la saison 2008-2009 :

1. Thierry Dusautoir (Toulouse)
2. Fulgence Ouedraogo (Montpellier)
3. Imanol Harinordoquy (Biarritz)
4. Jean-Pierre Pérez (Perpignan)
5. Julien Bonnaire (Clermont)
6. Rémy Martin (Bayonne)
7. Chris Masoe (Castres)
8. Jean Bouilhou (Toulouse)
9. Gerhard Vosloo (Brive)
10. Pierre Rabadan (Paris), Alexandre Audebert (Clermont), Ibrahim Diarra (Montauban), Matthieu Lièvremont (Dax), Julien Frier (Bourgoin)

Rugbyrama - Emilie Dudon

...

Oui.... C'est vrai que plus ça va... plus j'aime ce joueur !

Test-matchs
27/08/2009 - 17:01

Bastareaud-FFR: pas de date

La Commission de discipline de la Fédération française de rugby (FFR) n'a pas encore fixé la date de la convocation de Mathieu Bastareaud, centre du XV de France et du Stade Français au coeur d'une affaire sur sa vraie-fausse agression à Wellington le 21 juin.

La Commission devra cependant se prononcer sur cette affaire avant le 28 septembre, trois mois après sa saisine, a précisé à l'AFP Pierre Camou, président de la FFR.

"Le joueur n'est pas encore prêt et je ne veux pas ajouter un traumatisme à un traumatisme", a déclaré M. Camou, interrogé sur l'absence de date de convocation.

Bastareaud doit être convoqué pour avoir menti sur son agression à Wellington, dans la nuit du 20 au 21 juin lors de la tournée du XV de France en Nouvelle-Zélande. Le joueur avait d'abord prétendu avoir été agressé en pleine rue par des inconnus avant de se rétracter sous la pression de la police néo-zélandaise.

Cette affaire avait provoqué une vive émotion en Nouvelle-Zélande, qui accueillera le Mondial-2011. Bastareaud, lui, avait dû être hospitalisé à son retour en France pour de graves troubles psychologiques. Il a depuis repris la compétition avec son club, le Stade Français.

Rugbyrama

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"Le joueur n'est pas encore prêt et je ne veux pas ajouter un traumatisme à un traumatisme" ... jolie petite phrase !! Serait-ce qu'ils aient appris la délicatesse ??? Nooooooooooooooooooooon !! Je le crois pas !!
Trève de plaisanterie .... il me parait important de le laisser tranquille ce joueur, même si oui, il devra répondre de ses actes. Mais il ne s'agit pas de le détruire ! Alors si une date tardive peut l'aider .... je suis pour !

Rugby - Test-matchs
28/09/2009 - 20:00

Bastareaud s'en tire bien



Other Agency

La sanction est tombée. Suite à son mensonge en Nouvelle-Zélande, Mathieu Bastareaud a été suspendu trois mois par la commission de discipline de la FFR. Une peine commuée en activités d’intérêt général. Le Parisien ne sera pas privé de Mondial 2011.

L'attente a duré des semaines et des semaines. Plus de trois mois après l'affaire qui avait ébranlé le monde du rugby, allant jusqu'à l'implication des Premiers ministres néo-zélandais et français, la commission de discipline de la Fédération française a communiqué sa décision concernant le mensonge de Mathieu Bastareaud lors de la tournée des Bleus au Pays du long nuage blanc. L'international français s'est sort plutôt bien puisque la Fédération Française de Rugby l'a suspendu pour une durée de trois mois, une peine aussitôt commuée en activités d'intérêt général. "En application du règlement disciplinaire de la FFR, elle a décidé de remplacer cette suspension par l'obligation d'accomplir 18 activités d'intérêt général, au bénéfice du rugby amateur avant le 30 Juin 2010", apprend-on dans un communiqué publié par la Fédération.

Si Mathieu Bastareaud ne se plie pas à la peine infligée par la FFR, "la suspension prononcée sera exécutée." Un épilogue peu probable quand on sait que le joueur, qui a été entendu avec son conseil et son président de club, n'est pas puni sportivement parlant. A court terme, il pourrait donc postuler aux test-matchs du mois de novembre même si Marc Liévremont a d'ores et déjà annoncé qu'il ne devrait pas le sélectionner : "Ca me paraît compliqué de le sélectionner pour les test-matches de novembre", a-t-il dévoilé. Bastareaud devrait plus certainement disputer le prochain Tournoi des 6 Nations. A plus long terme, le Parisien aura également la possibilité de disputer le Mondial 2011. Des doutes persistaient sur sa participation à l'événement, qui se jouera en Nouvelle-Zélande.

La FFR n'a pas voulu pas sanctionner plus que de raison l'un de ses espoirs les plus prometteurs. Rien, dans les textes, ne l'autorise d'ailleurs à sanctionner un tel type de comportement de la part d'un joueur. "Je ne suis pas certain que les parties prenantes, la France et la Nouvelle-Zélande, soient contre le fait que Mathieu Bastareaud dispute le Mondial 2011", affirmait dès ce lundi matin Pierre Camou dans Midi Olympique.

Rugbyrama - E.D., M.D.

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"Le parisien ne sera pas privé de coupe du monde 2011" .... encore heureux !!

Rugby - Test-matchs
26/10/2009 - 17:17

France : Beauxis forfait pour les tests



Icon Sport

Le demi d'ouverture du Stade françaisLionel Beauxis (24 ans, 15 sélections) ne pourra pas disputer les test-matchs du mois de novembre avec l'équipe de France. Il a été victime d'une fracture de la main droite contre Perpignan samedi et sera éloigné des terrains pendant six semaines.


Samedi, après la douloureuse défaite au Stade de France contre Perpignan (14-20), Lionel Beauxis avait un peu mal à la main droite. Sans plus. C’est dimanche matin seulement que l’ouvreur parisien a compris que quelque chose n’allait pas quand, à son réveil, la douleur était devenue très intense. L’IRM passée ce lundi a confirmé ses pires craintes : il souffre d’une fracture. Il avait rendez-vous avec son médecin en fin d’après-midi pour se faire poser une attelle.

Pressenti à l'ouverture avec Trinh-Duc

Un véritable coup dur pour le joueur qui sera éloigné des terrains pendant six semaines au moins. Cela signifie qu’il ne sera pas remis avant début décembre. Il ne pourra donc pas postuler à une place dans le groupe France pour les test-matchs du mois de novembre. Le Parisien était pourtant pressenti pour faire partie de la liste qu’annoncera Marc Lièvremont mercredi au CNR de Linas-Marcoussis. Il devait, avec François Trinh-Duc, couvrir l’ouverture. Compte tenu de son forfait, le Biarrot Damien Traille, qui aurait pu être sélectionné à l’arrière, devrait seconder le Montpelliérain au poste de numéro 10.

Lionel Beauxis regardera donc les matchs contre l’Afrique du Sud le 13 novembre, les Samoa le 21 et les All Blacks le 28 devant son poste de télévision. Et il peut nourrir des regrets… Car il était en grande forme ces dernières semaines. Depuis l’arrivée du tandem Delmas-Faugeron au Stade français, il a fait des progrès, attaquant beaucoup plus la ligne, se montrant plus incisif et guidant bien mieux le jeu des Parisiens. C’est exactement ce qu’exigeait de lui Marc Lièvremont. De plus, il affichait une excellente complémentarité à la charnière avec son demi de mêlée Julien Dupuy, qui fera partie du groupe des trente… Bref, un vilain coup du sort pour le jeune joueur, qui n'a pas été à la fête pour son 24e anniversaire samedi...

Eurosport - Emilie Dudon, avec Arnaud Beurdeley

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J'en connais une qui sera trèèèèèèès triste !!

Rugby - Test-matchs
27/10/2009 - 18:00

Sacré Lièvremont !



AFP

Alors que l'on attendait peu de surprises, Marc Lièvremont a finalement intégré quatre novices dans son groupe de 30 Bleus (dont 17 avants) pour les tests de novembre: Fall (Bayonne), Burban (Paris), Ducalcon (Castres) et Lapandry (Clermont). Michalak et Marty reviennent. Fritz est absent.


Comme attendu, la sélection annoncée par Marc Lièvremont s’inscrit dans la continuité des tests estivaux et notamment de la victoire en Nouvelle-Zélande. Elle n’a toutefois pas été dénuée de surprises. Si notre site avait déjà annoncé mardi soir que le troisième ligne parisien Antoine Burban serait retenu pour la première fois, l’arrivée du Clermontois Alexandre Lapandry est plus inattendue. Ce dernier, "capitaine des Moins de 21 ans, confirme depuis deux ans son arrivée au plus haut niveau", selon le sélectionneur des Bleus, quand le Parisien "a une grande force de pénétration et est un gros plaqueur, dans le sillage de Thierry Dusautoir". Les deux joueurs seront associés au capitaine toulousain, à Louis Picamoles, à Fulgence Ouedraogo et à Imanol Harinordoquy. Julien Bonnaire, qui "paye" un peu son absence lors de la tournée cet été, n’a pas convaincu.

17 avants donc 5 piliers

Autre nouveau, l’ailier de Bayonne Benjamin Fall. Auteur d’un début de saison remarquable, le jeune joueur de 20 ans a notamment été retenu pour ses qualités de finisseur. Il a déjà marqué cinq essais en Top 14. "Il a un gros potentiel, il nous a semblé intéressant de l’impliquer en équipe de France", témoigne Lièvremont. Les Toulousains Vincent Clerc, Cédric Heymans et Maxime Médard couvriront les ailes avec lui, sachant que le dernier pourra aussi être aligné à l’arrière. Quant au Castrais Luc Ducalcon, il fait son retour après avoir été appelé pour la tournée en Nouvelle-Zélande et en Australie suite au forfait de Domingo. Il n’avait pas joué mais le staff tricolore veut lui redonner une chance. Sa sélection porte à cinq le nombre de piliers (Barcella, Marconnet, Mas, Domingo). Seuls deux talonneurs ont été appelés donc. Il s’agit de Dimitri Szarzewski et William Servat. Le Perpignanais Guilhem Guirado restera chez lui.

Le staff tricolore a insisté sur son désir de "continuité". Les sélections de Nallet, Millo-Chlusky, Chabal et Papé en deuxième ligne, celles de Parra et Dupuy à la mêlée, ou encore Mermoz, Jauzion ou Traille dans les lignes arrières en témoignent. A l’ouverture, c’est le Toulousain Frédéric Michalak qui été chargé de pallier le forfait de Lionel Beauxis (fracture main droite). Il sera attendu au tournant. "On a un peu hésité, on attend une confirmation de sa part. Mais il a 50 sélections, il a déjà joué contre et en Afrique du Sud", affirme le sélectionneur, pour qui "il était difficile d'impliquer Jean-Baptiste Elssalde au niveau international à l'ouverture". Comme notre site l’annonçait dès lundi, le Parisien Mathieu Bastareaud n’est pas retenu au centre. Marty, dont l’entente avec Mermoz à Perpignan est très bonne, lui a été préféré. Les excuses publiques présentées hier n’ont rien changé. "Tout aurait été plus simple si lui, son club et la Fédération avaient communiqué plus tôt", a commenté Marc Lièvremont, qui a toutefois affirmé "espérer" que le joueur retrouve les Bleus rapidement.

LE GROUPE

Avants (17) : Barcella (Biarritz), Domingo (Clermont), Marconnet (Stade français), Mas (Perpignan), Ducalcon (Castres), Servat (Toulouse), Szarzewski (Stade français), Chabal (Racing-Metro), Millo-Chlusky (Toulouse), Nallet (Racing-Metro), Papé (Stade français), Burban (Stade français), Dusautoir (cap, Toulouse), Harinordoquy (Biarritz), Ouedraogo (Montpellier), Lapandry (Clermont), Picamoles (Toulouse).

Arrières (13) : Dupuy (Stade français), Parra (Clermont), Michalak (Toulouse), Trinh-Duc (Montpellier), Jauzion (Toulouse), Marty (Perpignan), Mermoz (Perpignan), David (Toulouse), Clerc (Toulouse), Fall (Bayonne), Heymans (Toulouse), Médard (Toulouse), Traille (Biarritz).

Rugbyrama - Emilie DUDON

...

j'en ai MARRE de la poisse de Beauxis ! Une fracture de la main, l'année dernière c'était une élongation à la cuisse, l'année d'avant la pubalgie....grrrrr Ca aurait trop donné une charnière Beauxis-Dupuy... ils ont encore besoin de la bosser mais elle commence à fonctionner (ok pas samedi dernier c'est sur) en club ! Dammmned

L'hirondelle a écrit:

Ca aurait trop donné une charnière Beauxis-Dupuy...

Là-dessus je suis bien d'accord avec toi...

Rugby - Test-matchs
07/11/2009 - 16:46

Bleus: Ouedraogo forfait



Midi Olympique

Le troisième ligne aile de Montpellier a quitté le groupe France ce samedi pour rejoindre Montpellier. Blessé à l'épaule gauche, Fulgence Ouedraogo est forfait pour la réception de l'Afrique du Sud. Le Castrais Ibrahim Diarra est appelé pour le remplacer. Il arrivera dimanche matin.

La série noire continue pour le capitaine de Montpellier. Fulgence Ouedraogo est forfait pour la réception de l'Afrique du Sud vendredi prochain à Toulouse. Touché ce jeudi lors lors de la victoire du MHR face à Montauban (19 à 0) pour le compte de la 12e journée du Top 14, le joueur avait tout de même rejoint l'équipe de France vendredi au bar de l'arrivée à l'aéroport d'Orly. Ce samedi, le médecin des Bleus Jean-Philippe Hager avait décidé d'organiser des examens complèmentaires sur Paris. Fulgence Ouedraogo a donc passé une IRM qui a révélé un traumatisme de l'épaule gauche.

Une blessure qui contraint le jeune international (23 ans, 17 sélections) à renoncer au premier test match de l'équipe de France face aux champions du monde sud-africains. Le joueur a d'ailleurs quitté le centre national de rugby (CNR) de Marcoussis pour aller poursuivre les soins avec le staff médical de son club. C'est un nouveau coup d'arrêt cette saison pour Ouedraogo qui n'avait repris la compétition que le 24 octobre après un mois d'absence en raison d'une blessure au sternum.



Diarra appelé, Guirado rassuré

Le staff de l'équipe de France a décidé de convoquer Ibrahim Diarra pour remplacer Ouedraogo. Le néo-castrais (27 ans) a déjà connu une sélection depuis la prise de fonction de Marc Lièvremont.

C'est un nouveau forfait en troisième ligne, puisque le parisien Antoine Burban a dû décliner sa sélection en raison d'une blessure à un pouce. Cette première tuile avait offet un billet au Clermontois Julien Bonnaire.

En revanche, le talonneur de Perpignan Guilhem Guirado, touché aux cervicales face à Toulon ce jeudi, a passé des examenscomplémentaires qui se sont révélés rassurants. Il sera néanmoins ménagé ce dimanche et devrait reprendre l'entraînement en début de semaine.

Rugbyrama - Nicolas Augot

Rugby - Test-matchs
08/11/2009 - 10:14

Lièvremont: "Un exploit réalisable"



DPPI

Pour Marc Lièvremont, une victoire de l'équipe de France la semaine prochaine à Toulouse face à l'Afrique du Sud relèverait de l'exploit. Mais le patron des Bleus, s'il est conscient de la difficulté de la tâche, estime que ses joueurs sont capables de relever le défi proposé par les Boks.


MARC LIEVREMONT, Dans quel état d'esprit êtes-vous à une semaine d'affronter les Springboks ?

M.L. : On a l'obligation de rendre une copie parfaite. On l'a dit, l'Afrique du Sud laisse très peu de place à l'incertitude, à la médiocrité, aux imperfections. Il faudra assurément un match exceptionnel de notre équipe pour espérer l'emporter à Toulouse. Dans les fondamentaux, dans l'agressivité, dans l'engagement et aussi dans la précision de nos lancements de jeu et de notre jeu au pied. On sait que chaque faute sera sanctionnée par cette équipe extrêmement pragmatique qui maîtrise parfaitement son rugby.

Est-ce la meilleure génération sud-africaine ?

M.L. : Elle produit peu de jeu mais elle y met une forme de volume, à la Sud-Africaine, avec du combat et de la pression par du jeu au pied et sur les phases de conquête. Elle a moins de déchet car elle produit peut-être moins de jeu que d'autres nations du Sud comme la Nouvelle-Zélande. Elle sait s'adapter à la défense adverse. Quand elle est franchie, elle a des retours défensifs extrêmement rapides. Il y a aussi le poison (Heinrich) Brussow sur le jeu au sol.

A vous entendre, l'emporter relèverait de l'exploit...

M.L. : Encore une fois, par rapport à nos conditions de préparation: oui. Pour n'importe quelle équipe au monde, battre l'Afrique du Sud est un exploit. On a vu cet été la façon dont ont été mises à mal l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Mais c'est un exploit réalisable, et on va s'attacher à bien travailler cette semaine pour battre cette équipe. D'une manière générale, battre une équipe de l'hémisphère Sud est toujours une performance... qui n'arrive pas autant qu'on le souhaiterait.

On accuse souvent les Sud-Africains d'aller au-delà de la règle dans le défi physique...

M.L. : J'ai le sentiment qu'ils transgressaient souvent dans le passé. Aujourd'hui, l'arbitrage, même s'il est décrié en France et à l'étranger en raison de ses diverses interprétations, est quand même beaucoup plus sévère. On espère qu'il le sera encore en novembre sur l'agressivité. Mais pour moi, l'Afrique du Sud est beaucoup plus disciplinée et se donne les moyens de diminuer l'adversaire dans la règle. A nous de prendre les devants dans ce secteur incontournable, de marquer l'adversaire, de le diminuer dans la règle. Et de proposer autre chose.

A deux ans du de la Coupe du monde 2011 , où situez-vous le XV de France ?

M.L. : Si on prend le classement de l'IRB, on est cinquième (nation mondiale, NDLR). Il faut peut-être s'en tenir à ce classement. A mon sens, on est capable de gagner comme de perdre contre les quatre nations qui sont devant nous (Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande, Australie et Irlande) et il y a certainement deux ou trois équipes du Nord contre qui on peut rivaliser. Mais c'est difficile d'évaluer d'une compétition à l'autre. Pour le Tournoi des six nations, on espère rivaliser mieux que lors des deux dernières saisons. Ce serait quand même intéressant de grignoter quelques places au classement IRB.

Rugbyrama - AFP

...

Vous y croyez vous ? ..... Mouaich...

les bleus viennent de battre les champions du monde
well done messieurs

Rugby - XV de France
Chabal et les morts de faim
Après une bonne entrée face aux Boks, Sébastien Chabal revient en tant que titulaire chez les Bleus. Titulaire et mort de faim. Conscient aussi qu'une grosse performance pourrait l'amener à rencontrer les Blacks.


Sébastien Chabal sera titulaire en deuxième ligne face aux Samoa.(EQ)

A chaque fois, le rituel est immuable. Lorsque Sébastien Chabal est remplaçant et qu'il s'apprête à rentrer sur le terrain, un frisson parcours le stade alors qu'il mouline ses immenses bras. Ce même stade attend avec impatience sa première percussion pour laisser échapper un « hooouuuu » de plaisir, n'en déplaise aux puristes. Vendredi dernier, peu avant l'heure de jeu, le Stadium de Toulouse a ainsi pu se laisser aller lorsque le Francilien est rentré en jeu. Samedi prochain, face aux Samoa, le grand barbu sera titulaire. On pourra alors le voir jouer des mâchoires durant la Marseillaise. Pour lui, en tout cas, ça ne change pas grand chose.

«C'est plus facile de débuter la rencontre mais dans l'approche, cela ne change rien du tout. Au début ou en cours de rencontre, il faut donner son maximum. Face à l'Afrique du Sud, je crois que tous les remplaçants ont rempli leur rôle». Détendu et en tongs sous la pluie, Sébastien Chabal garde toute son énergie pour le match à venir. Mais plus que l'envie, l'obligation de bien faire est présente dans son esprit. «Les avants ont fait un match énorme face aux Springboks. A nous de nous mettre à leur niveau. Mais chaque joueur qui porte le maillot de l'équipe de France doit toujours garder son niveau de jeu très élevé. Il faudra faire au moins aussi bien que la semaine dernière» prévient le joueur du Racing-Métro 92.

«Il faudra restrer gainé»

Dans un contexte rendu léger par la victoire sur l'Afrique du Sud, travailler est devenu plus facile mais la concentration ne baisse pas d'un cran. «C'est sûr que c'est plus simple d'enchaîner après une telle victoire. Mais l'équipe a beaucoup changé et pour nous, finalement, c'est le premier match». Un premier match qui pourrait en appeler un autre. Car même si l'objectif immédiat est samoan, tout le monde a déjà les Blacks dans un coin de la tête. «C'est sûr que nous allons essayer de tirer notre épingle du jeu et d'être les plus performants possible pour poser des problèmes au sélectionneur lors de sa composition de l'équipe pour les Blacks. Mais aujourd'hui, il y a un groupe élargi qui est assez clairement dessiné et le staff sait qu'il peut compter sur une trentaine de joueurs sans que le niveau de l'équipe ne s'en ressente. Mais si on pense aux Blacks, il ne faudra pas passer au travers sur ce match».

La motivation face aux Samoans ne fait aucun doute à l'écoute de Chabal. Leur résultat face aux Gallois l'a étonné et il reconnaît leurs qualités physiques indéniables. «Nous les connaissons peu mais ils ont d'impressionnantes qualités individuelles qui compensent leur manque de jeu. On disait que cela allait être dur physiquement contre les Boks, mais je peux vous affirmer que les Samoa c'est pas mal non plus. En tout cas, il faudra les jouer en équipe. Si nous tentons la carte individuelle, c'est fichu. Et vu leurs plaquages, il faudra rester gainé». La barbe noire laisse alors échapper un rire caverneux. Et le géant s'en va tranquillement en mâchonnant sa sucette.

Bertrand LAGACHERIE, à Linas-Marcoussis

Salut au "barbu" ... et merci pour le clin d'oeil ...
Nous qui sommes des anciens barbus ... à présent on est sans doute plus barbapapa ...



La bise !

Solo a écrit:

Salut au "barbu" ... et merci pour le clin d'oeil ...
Nous qui sommes des anciens barbus ... à présent on est sans doute plus barbapapa ...



La bise !

oui je sais que vous êtes des anciens barbus, c'était le bon vieux temps on formait une belle équipe, mais bon toutes les bonnes choses ont une fin
C'est bon la barbapapa
Ca se dit comment bonne nuit en Italien

Rugby - Test-matchs
20/11/2009 - 15:42

Les Samoa sans complexe



Icon Sport

Après une très bonne prestation face au pays de Galles (défaite 17 à 13) et à l'image de Fuimano Taufa, un sélectionneur très serein, les Samoa pensent qu'ils peuvent rivaliser avec les Tricolores samedi au Stade de France.

Il a pourtant effectué cinq changments et il a notamment intégré deux joueurs qui ne comptent aucune sélection mais le sélectionneur Fuimano Taufa se veut rassurant : "J'ai aligné notre meilleure équipe possible car jouer contre la France, une équipe de très haut niveau, est pour nous une grande opportunité." Les Samoans, qui n'ont joué face à la France qu'une seule fois, en 1999, veulent faire honneur à ce test match et pour cela, ils comptent bien rivaliser avec les Tricolores. Leur dernière prestation face au pays de Galles les a même confortés dans l'idée qu'ils avaient une carte à jouer ce samedi au Stade de France. "C'est un super challenge, poursuit le sélectionneur, "face à une équipe qui vient de battre la meilleure formation du monde grâce notamment à un cinq de devant très fort."

L'équipe des Samoa veut vraiment croire en ses chances : "ça va être dur mais, si nous sommes bons en touche et en mêlée, nous avons une chance. Si nous arrivons à avoir 50 ou 55% de possession de balle, tout sera alors possible." Avec un petit sourire en coin Taufa lance même un averstissement aux Tricolores : "Nous allons jouer avec notre propre flair qui peut être assez similaire à celui des Français." Le pilier du Stade toulousain Census Johnstone va même plus loin et ce n'est pas la belle performance des Bleus face à l'Afrique du Sud qui lui fait peur : "Nous devons nous concentrer sur notre propre jeu et nous avons nous aussi des bons joueurs."

Habitué aux joutes européennes, l'ancien joueur des Saracens et de Biarritz n'est pas étranger la bonne tenue de la mêlée fermée samoane face au pays de Galles et il compte de nouveau sur cette arme pour contrarier les Bleus malgré le forfait du pilier gauche Justin Va'a : "La semaine dernière, personne ne nous attendait dans le secteur de la mêlée. Nous devrons être costauds pour faire une performance pareille mais j'ai confiance en mes coéquipiers. Nous avons beaucoup parlé de la mêlée cette semaine entre nous et nous pensons pouvoir nous adapter à ce que les Français ont fait face à l'Afrique du Sud."
Malgré la décompression générale qui régnait cette semaine à leur hôtel à Neuilly-sur-Seine, les Samoans ne sont pas venus faire du tourisme à Paris. Ils comptent bien le prouver sur la pelouse du stade de France samedi soir.

Rugbyrama - Nicolas Augot, envoyé spécial

...

Et qui c'est qui y sera au Stade de france ??

P.S : Salut Le Barbu ...

mister Barbu ...

C'était vraiment le bon temps ?
Tu sais le bon temps ... c'est aussi maintenant ...
Ce vaisseau est une mosaïque de gens différents ...
qui s'apprécient et se respectent infiniment ...
Si tu nous avez vu sur les marches de Montmartre fin septembre ...
Des gosses ...

Bonne nuit ... ça se dit ... Buona notte ...

Les Blacks veulent se faire des Bleus





Les Néo-Zélandais l’assurent : le test-match contre l’équipe de France, à Marseille samedi, sera le plus important de leur tournée européenne cet automne. Invaincus jusque-là, comme les Bleus d'ailleurs, les All Blacks viennent avec des ambitions et ne s’en cachent pas.
Ça risque de catcher à Marseille samedi pour le dernier match international de rugby en France cette année. Car les All Blacks l’ont annoncé : la rencontre face aux Bleus samedi à Marseille sera LE gros match de leur tournée européenne. Parce qu’un grand chelem est en jeu tout d’abord, aussi bien pour eux que pour les Français d'ailleurs. Après leurs victoires face à l’Australie au Japon (32-19) puis contre le pays de Galles (19-12), l’Italie (20-6) et l’Angleterre (19-6), les Néo-Zélandais ont à cœur de rentrer chez eux invaincus. C’est qu’ils ont des choses à se faire pardonner après des tests estivaux en demi-teinte et leur deuxième place dans les derniers Tri-Nations. "C’est notre dernier gros match de l’année et nous voulons réaliser une belle performance pour terminer notre saison sur une bonne impression", confirme le deuxième ligne Tom Donnelly

L’arrière Mils Muliaina, lui, insiste plutôt sur le sentiment de revanche après la défaite à domicile contre les Bleus à Dunedin (17-22) en juin dernier. Les All Blacks l’avaient emporté la semaine suivante à Auckland (14-10) mais ils n’ont toujours pas digéré cet affront. Muliaina, qui était alors capitaine, est particulièrement revanchard : "On a été déçu cet été de la manière dont on a joué contre eux, et c'est une occasion pour nous de réaffirmer notre jeu, a-t-il expliqué. On est invaincu jusqu'à présent et là, c'est LE grand match. On va tout donner face à l'équipe de France."
Muliaina : " Un match énorme "
Les Bleus sont prévenus donc. Le staff néo-zélandais a déjà fait savoir qu’il alignerait sa "meilleure équipe possible" au Vélodrome et Graham Henry a estimé que ses joueurs avaient fourni "le meilleur match de la tournée" à Twickenham samedi dernier. Il est vrai, effectivement, que les All Blacks semblent monter en puissance. L’ouvreur Daniel Carter affirme toutefois qu’ils devront s’améliorer pour se montrer à la hauteur de leurs intentions à Marseille: "Défensivement, on a été très solide, mais au niveau de l'attaque, il faut qu'on conserve plus le ballon et qu'on construise sur plusieurs temps de jeu".
Face à des Français "qui jouent très bien en ce moment" selon Tom Donnelly, les All Blacks arriveront remontés comme jamais. "Marseille sera inaccueillante, nous avons une grosse semaine à venir et les coachs ont beaucoup de travail pour amener notre équipe à la victoire mais ça va être un match énorme", prédit Mils Muliaina. On n'attend que ça.
Rugbyrama - Emilie Dudon


vivement samedi

ça va chier!!!!!
ça promet d'être une belle rencontre

Les raisons d'une marée noire



Icon Sport



Dépassés, les Bleus n’ont pas su endiguer la marée noire qui s’est abattue sur Marseille samedi soir. Voici, en quelques points, les principales raisons de cette défaite (12-39), que certains qualifient même de naufrage.
L’un des "gros regrets" de Marc Lièvremont après la défaite contre les All Blacks tenait dans l’absence d’essais côté français. Les Bleus ont eu des occasions mais ils ne les ont jamais concrétisées. Pire, ils ont laissé leurs adversaires franchir la ligne à cinq reprises et leur infliger un cinglant 39-12. Pourquoi ? Parce qu’ils ont péché dans des secteurs clé. Réponse en détails.
Une défense débordée

C’était flagrant samedi à Marseille : dès qu’ils accéléraient le jeu, les All Blacks prenaient la défense française de vitesse. Au centre du terrain, les franchissements, de Nonu notamment, ont fait très mal aux Bleus. "Nous ne les avons pas assez pressés dans nos montées défensives", analyse le flanker Fulgence Ouedraogo. "On ne se replaçait pas assez vite, on n’a pas mis assez de pression sur Carter notamment, qui a fait un grand match. Il a fait un peu ce qu’il voulait. Il jouait en avançant à chaque fois et après c’était dur de combler les espaces. Il aurait fallu monter avec beaucoup plus d’agressivité pour ne pas les laisser manœuvrer." Mais les ballons arrivaient aussi très vite sur les extérieurs et les Néo-Zélandais ont pu exploiter de nombreux surnombres. Le pilier Nicolas Mas confirme : "Les ballons arrivaient vite sur les ailes, ils ont mis beaucoup de rythme et cela nous a un peu déstabilisés".
Des difficultés dans la conservation du ballon
"C’est là qu’il faut qu’on soit plus performant : dans la conservation du ballon. Cela les aurait empêchés de jouer." Damien Traille, au moment d’analyser la défaite des siens, insistait avant tout sur le nombre hallucinant de munitions rendues par les Bleus et dont les Blacks se sont délectés. Le jeu au pied, notamment, a été déficient, mais les Français ont aussi rendu des ballons à l’impact ou dans les rucks. Un véritable hara-kiri. "Ils ont su utiliser nos ballons perdus, poursuit l’arrière biarrot. On savait que c’était leur points fort et ça n’a pas loupé, notamment en première mi-temps. On s’est trop vite débarrassé du ballon et on a pris un essai qui nous a fait mal (Muliaina, 23e, après un coup de pied inopportun de Clerc NDLR)."
La bataille des rucks perdue

Les Français avaient en partie construit leur victoire contre l’Afrique du Sud sur leur domination dans les zones de rucks. Agressifs en diable, ils avaient ralenti les ballons des champions du monde et les avaient empêché de jouer. Ils avaient d’ailleurs récupéré de nombreuses munitions sur des turn-over. Samedi à Marseille, c’est exactement l’inverse qui s’est produit. Ce sont les Blacks qui sont sortis gagnants du combat au sol. "Nous avons perdu la bataille des rucks, nos sorties de balles étaient ralenties et nous n’avons pas contesté le ballon. Nous ne les avons pas agressés" , déplorait le capitaine Thierry Dusautoir devant les journalistes en conférence de presse. L’entraîneur des avants Didier Retière lui ne parlait pas d’un manque d’agressivité mais plutôt d’une énergie mal canalisée : "Nous avons été présents dans le combat, nous avons essayé de déplacer le jeu mais nous nous sommes usés dans ces phases de combat stériles et eux ont mis de la vitesse derrière. Nous avons laissé trop de forces dans ce secteur. Cela s’est par exemple ressenti sur les soutiens. Les joueurs n’étaient plus réactifs à ce niveau."
Les mauvais lancements de jeu
En début de match, la mêlée française a été dominatrice. Elle a même récolté une pénalité dès le premier affrontement direct des deux packs, à la 2e minute de jeu. Pourtant, les Bleus n’ont jamais su réellement mettre à profit les bons ballons captés en touche ou en mêlée et la prise de la ligne d'avantage n'a été qu'épisodique sur les premiers temps de jeu. Au contraire des Blacks, qui ont notamment marqué le premier essai à la 8e minute sur leur première touche dans les 30 m tricolores. La mêlée française si performante lors des deux premiers tests, a ensuite été bien maîtrisée par ses adversaires. "Elle nous a permis de bénéficier de quelques pénalités et de bras cassés mais c’est vrai que ça ne leur a pas fait aussi mal qu’aux Sud-Africains", avouait le pilier le plus capé de l’histoire du rugby français, Sylvain Marconnet. "Ils se sont nourris de nos fautes."

sur rugbyrama.fr


ils l'ont eu leur revanche les blacks ! un beau match sans temps mort ! une démonstration magistrale des néo zélandais ! bizarement, je trouve que cette défaite est peut être un bien pour l'équipe de france ,afin d'améliorer encore plus leur jeu d'ici le début du tournoi des 6 nations et on aura une edf encore plus affutée pour cette compétition

melodynelson a écrit:

ils l'ont eu leur revanche les blacks ! un beau match sans temps mort ! une démonstration magistrale des néo zélandais ! bizarement, je trouve que cette défaite est peut être un bien pour l'équipe de france ,afin d'améliorer encore plus leur jeu d'ici le début du tournoi des 6 nations et on aura une edf encore plus affutée pour cette compétition

Je suis assez d'accord avec toi Melody.....

Moi je l'ai bien aimé ce match.... et puis je les trouve dur à parler de naufrage : les français étaient en dessous, c'est certain, mais ils n'ont jamais abandonné et ont tout de même sauvé quelques situations très chaudes !! Oui, il y a des progrès à faire.... mais je trouve qu'ils sont sur la bonne voie !

Aller les Bleus !

oui ,et en plus, je trouve ça plutôt très flatteur pour l'équipe de france que les blacks aient sorti le grand jeu ce jour là,ça veut dire qu'ils nous craignent un peu et nous considèrent comme une grande équipe

impressionante ta ppg cixi oui celle ci
je viens de découvrir qu'il y a 2 pages de smileys sur le fofo quand je vous dis que je suis une fausse brune ....

melodynelson a écrit:

je viens de découvrir qu'il y a 2 pages de smileys sur le fofo quand je vous dis que je suis une fausse brune ....

Rugby
18/12/2009 - 20:54

Liévremont : "Extrêmement lourde"

Le sélectionneur de l'équipe de France, Marc Liévremont, a estimé que la suspension de 6 mois de Julien Dupuy était extrêmement sévère.

Suspendu pour six mois en raison d'une fourchette sur le 3e ligne de l'Ulster, Stephen Ferris, lors d'un match de Coupe d'Europe, le demi-de-mêlée parisien Julien Dupuy peut déjà tirer un trait sur sa saison, tant nationale qu'internationale. Le sélectionneur de l'équipe de France, Marc Liévremont, privé du joueur pour le prochain Tournoi des VI Nations, espère que lui ou le Stade Français feront appel de la suspension "extrêmement lourde" de 24 semaines pour qu'elle "soit ramenée à quelque chose de raisonnable".

"Mon sentiment est partagé. Il y a un devoir d'exemplarité pour un joueur de rugby par rapport à la discipline et la violence, a
fortiori quand c'est un international, un leader de jeu à son poste. Il est normal qu'il y ait sanction", a-t-il souligné, souhaitant cependant que la "peine sera ramenée à quelque chose de plus raisonnable".

"On s'attendait au pire et c'est le pire qui est arrivé à Julien parce que six mois, c'est énorme. La sanction est extrêmement lourde. Je sais que le témoignage de Ferris est allé dans le sens d'une gifle main ouverte plutôt que d'une intention de nuire. Et le joueur va bien. Six mois dans la carrière d'un joueur, c'est énorme", a tenu à préciser Marc Liévremont avant d'estimer que si la sanction était confirmée, "il est totalement exclu qu'il parte la semaine d'après (la fin de sa suspension) en Afrique du Sud. C'est une évidence que si cette sanction est maintenue ça met un terme à sa saison".

Rugbyrama

Rugby - 6 Nations
20/01/2010 - 12:28

Ducalcon et Estebanez invités



Icon Sport

Le staff de l'équipe de France a annoncé le groupe des trente joueurs sélectionnés pour le début du Tournoi des 6 Nations. Deux nouveaux vont découvrir les Bleus. Il s'agit du pilier castrais Luc Ducalcon et du polyvalent arrière de Brive Fabrice Estebanez. Elissalde et Bastareaud sont de retour.

Des nouveaux et des revenants. Avec les blessures de plusieurs internationaux (Traille, Barcella, Mermoz, Yachvili) ces dernières semaines et la suspension de Julien Dupuy, il fallait s'attendre à des nombreuses modifications au sein du groupe France qui doit se réunir le 29 janvier pour préparer le Tournoi des 6 Nations et notamment le premier match en Ecosse le 7 février. Parmi les trente heureux élus, ils sont donc deux à zéro sélections. Le pilier Luc Ducalcon (26 ans, 1,83 m, 120 kg), qui avait déjà eu les honneurs d'une convocation avant de déclarer forfait en raison d'une blessure, sera le seul castrais à Marcoussis. L'autre petit nouveau s'appelle Fabrice Estebanez (29 ans, 1,86 m, 97 kg). Le joueur de Brive, qui a longtemps évolué au centre où à l'arrière dans son club avant d'être replacé avec succès à l'ouverture, avait déjà connu des sélections lorsqu'il jouait au rugby à XIII. Une convocation à XV « logique par rapport à ses performances », a souligné Marc Lièvremont, « il s'installe au poste d'ouvreur dans son club où il prend la place à des joueurs internationaux (Andy Goode et Luciano Orquera, N.D.L.R.). »

Elissalde , Bastareaud et Rougerie de retour





L'année 2010 commence bien pour les bannis de 2009. Marc Lièvremont a décidé de rappeler notamment Jean-Baptiste Elissalde (32 ans, 30 sélections). Le demi de mêlée ou ouvreur du stade toulousain n'avait plus été convoqué depuis la tournée d'automne 2008. Il profite bien sûr de la suspension du parisien Julien Dupuy même si le sélectionneur a précisé que « Jean-Baptiste mérite de revenir parmi nous. »

Aurélien Rougerie (29 ans, 55 sélections) revient d'encore plus loin puisqu'il n'avait plus été appelé depuis le Tournoi des 6 Nations 2008. Son dernier match en Bleu remonte au 9 mars 2008 face à l'Italie. Souvent replacé au centre avec son club de Clermont depuis la saison dernière, il est convoqué pour évoluer à l'aile.

Enfin Mathieu Bastareaud (21 ans, 4 sélections) va faire son retour au CNR de Marcoussis. La « punition » après l'affaire qui porte son nom est donc aujourd'hui levée. Pièce maîtresse du Stade français, il l'aura l'occasion de tirer un trait sur les derniers sept derniers mois qui n'ont pas été facile pour lui.

Médard, Heymans et Michalak absents

Une liste entraîne forcèment des déceptions et des absences. Maxime Médard (23, 15 sélections), déjà mis sur la sellette lors de la dernière tournée d'automne, n'a toujours pas regagné la confiance des entraîneurs tricolores qui envisagent de tester Benjamin Fall (20 ans, 1 sélection) au poste d'arrière. Alexis Palisson (22 ans, 5 sélections), absent en novembre, passe aussi devant le Toulousain. Cédric Heymans et Frédéric Michalak sont eux aussi les oubliés de cette première liste alors que Jérôme Porical et Yves Donguy, dont les noms avaient circulés ces derniers jours, devront patienter avec de découvrir le quinze de France.

Arrières (10) : Bastareaud, Clerc, Estebanez, Fall, Jauzion, Palisson, Poitrenaud, Marty, Rougerie, Malzieu.

Demis (4) : Boyet, Elissalde, Parra, Trinh-Duc

Avants (16) : Chabal, Domingo, Dusautoir, Harinordoquy, Lapandry, Bonnaire, Marconnet, Mas, Millo-Chluski, Nallet, Ouedraogo, Papé, Picamoles, Ducalcon, Servat, Szarzewski.

Rugbyrama - Nicolas Augot

...

Chabal est présent ..... Elissalde est de retour !!!! ..... C'est cool !!!!!!

Aller les Bleus !!!