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 L'EUROPE EN FOLIE

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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeMar 19 Jan - 22:31

Rugby - Coupe d'Europe
19/01/2010 - 11:13


Attoub suspendu 18 mois !


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David Attoub est suspendu pour les 18 prochains mois. C'est la sanction terrible que vient de prononcer la commission de discipline de l'ERC suite à une "fourchette" du joueur parisien sur l'Irlandais Stephen Ferris lors de la 3e journée de H Cup.

La sanction est tombée et elle est terrible. Selon nos informations, la commission de discipline de l'ERC a décidé de suspendre David Attoub pour les 18 prochains mois ! Le pilier du Stade français, âgé de 28 ans, ne pourra pas rejouer au rugby avant le 22 avril 2011 (son contrat avec le Stade français se termine le 30 juin 2011). Une sanction inattendue et lourde que l'ERC a réussi à justifier au titre de la récidive. En effet, David Attoub, alors joueur à Clermont, avait été suspendu six semaines lors de la saison 2004-2005 pour un coup de poing lors d'un huitième final de Challenge Européen le 5 décembre face aux Borders. Cinq ans après les faits, rien ne lui a été pardonné. Surtout, la commission de discipline n'a pas digéré que le Parisien ne plaide pas coupable et le fait d'avoir amené un expert lors de son audition. Cette dernière a d'ailleurs accompagné la sanction sportive à une sanction financière puisque David Attoub devra payer tous les frais engendrés par cette procédure (avocats de l'ERC mais aussi les vidéo-conférences).

Le pilier parisien (1 sélection) est bien sûr effondré par cette décision. Il ne pourra pas rejouer avant la saison 2011-2012 et il n'est pas évident que l'on reverra David Attoub sur un terrain de rugby. Il peut bien sûr faire appel de cette décision et son président Max Guazzini, qui a décidé d'utiliser tous les recours possibles pour réduire la sanction de son demi de mêlée Julien Dupuy (23 semaines), devrait l'en persuader. En tout cas, c'est un nouveau coup d'arrêt dans la carrière de cet ancien joueur de Castres qui n'avait pas pu jouer pendant huit mois lors de la saison 2006-2007 suite à une infection causée par un staphylocoque doré.

Rugbyrama - Nicolas Augot avec M.D.

...

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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeLun 25 Jan - 21:09

Rugby - Coupe d'Europe
25/01/2010 - 14:19


Le tour de Midi Olympique



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Comme après chaque journée, les envoyés spéciaux du Midi Olympique décryptent pour vous les moments forts de la H Cup, retirant chacun un joueur, un instant clé, ou une image de chaque rencontre. Tour d'horizon de ce 6e acte, qui a vu Paris et Clermont rejoindre Biarritz et Toulouse en quarts.

Perpignan-Trévise 34-6 - Philippe KALLENBRUNN
L'Usap a fini sa campagne européenne par une victoire incontestable et bonifiée face à Trévise, de la nature de celle qu'elle aurait dû ramener d'Italie le 10 octobre dernier, lors de la première journée. C'est là, au Stadio di Monigo, que les Catalans ont perdu leurs illusions dans cette H Cup 2009-2010. Perpignan pourra néanmoins se souvenir deux matchs accomplis : à Aimé-Giral, face à Northampton (29-13) et à Thomond Park, contre le Munster (23-24). L'Europe fuit ainsi le Roussillon pour la deuxième année consécutive, et, dans le même temps, l'éventualité d'un quart ou d'une demi-finale à Barcelone. Pas sûr, d'ailleurs, que cette ambition soit désormais mise en avant, à l'approche des prochaines échéances continentales... Pour Jacques Brunel, en tout cas, la H Cup, dans sa formule actuelle, demeure trop aléatoire pour constituer un objectif en début de saison.

Viadana-Clermont : 20-59 - Marc DUZAN
On ne reviendra pas sur la démonstration des Jaunards face à Viadana (59-20), une équipe au niveau sensiblement équivalent à celui d'une formation du ventre mou Pro D2. Un match sérieux, neuf essais à deux et un beau doublé du capitaine Aurélien Rougerie, excellent en Lombardie. On insistera plutôt sur cette première place arrachée au forceps par les Clermontois aux Ospreys et à Leicester, considérés comme deux des effectifs les plus riches du vieux continent. Clermont a marché sur la poule 3, le groupe de la mort de la H Cup. Clermont a enterré tigres des Midlands et balbuzards de la baie de Swansea. Clermont est en quarts de finale de la reine des compétitions européennes et cela ne s'était plus vu depuis 2002. Alors chapeaux bas, messieurs les Jaunards...

Edimbourg-Paris : 9-7 - Arnaud BEURDELEY

Que se serait-il passer si le trois-quarts centre écossais Cairns avait réussi à maîtriser le ballon sur cette passe interceptée de Miérès (60e) ? Que serait-il advenu si les Parisiens n'avaient pas été costauds pour défendre leur ligne entre la 61e et le 69e minute ? Quel aurait été l'avenir de Paris si Papé n'avait converti la seule incursion stadiste dans les 22 mètres écossais ? Ces questions méritent d'être posée. Et la réponse est simple : Edimbourg l'aurait probablement emporté, de façon relativement logique, avec un écart de point supérieur à sept points. Envolé alors le point de bonus défensif si précieux pour le club de la capitale. Oubliée la qualification pour les quarts de finale de la Coupe d'Europe. Tombés les sourires de circonstances. Au lieu de cela, Cairns a laissé échapper le ballon. Paris a défendu de façon héroïque pendant ces huit longues minutes. Papé s'est montré réaliste. Et Paris a gagné le droit de rejoindre le gotha européen. Tant mieux, dirons-nous. Tant mieux pour les joueurs et le staff parisien qui n'ont pas été épargnés par les difficultés depuis plusieurs semaines. Mais, gardons-nous de tout gargarisme. Cette qualification pour le Top 8 européen, performance que le Stade français n'avait pas atteint depuis deux ans, ne doit pas être l'arbre qui cache la forêt. Qu'on se le dise, le Stade français est actuellement en souffrance.

Brive-Llanelli : 17-20 - Nicolas ZANARDI
Si Brive n'a pas à rougir en matière d'intentions de jeu (le CABCL gratifia même son public de plusieurs séances débridées et de trois essais de superbe facture), les Corréziens ont baissé pavillon sur l'un de leurs points faibles structurels cette saison : le jeu au pied. Lorsque les Martin Roberts, Stephen Jones ou Daniel Evans renvoyaient sans coup férir les Coujous dans leur camp, les Brivistes rendaient trop facilement le ballon sans jamais parvenir à inverser la pression. Les deux essais inscrits suite à des contre-attaques, punissant deux chandelles moisies de Goode, claquèrent ainsi comme un parfait symbole. Sans compter ce zéro pointé dans les tirs au but en première période qui permit, trop vite, aux Gallois de
revenir au score. Lesquels ne durent leur victoire qu'à la précision toujours intacte du plus Jaunard d'entre eux, Stephen Jones, auteur d'un joli 100%, dont la pénalité de la gagne. Comme quoi, en rugby, l'importance d'un buteur fiable demeure cruciale...

Biarritz-Glasgow : 41-20 - Pierre MAILHARIN
Les Ecossais peuvent se sentir frustrés. Longtemps, ils ont en effet cru pouvoir rééditer leur exploit de la saison passée, lorsqu’ils s’étaient imposés, à la surprise générale, sur la pelouse d’Ernest-Wallon. Au final, ils s’en retournent chez eux avec quarante points dans la musette, tarif européen du BOPB à domicile cette saison. Mais ne nous y trompons pas : si les deux précédents, face à Gloucester et Newport, avait reflété la physionomie du match, ce ne fut cette fois pas le cas. Et les Basques, menés jusqu’à l’heure de jeu, n’auront dû leur salut qu’à l’écrasante domination de leur cinq de devant dans les vingt dernières minutes. Ils devront montrer autre chose, en avril, à Anoeta, face aux Ospreys, pour prétendre se qualifier en demis. Les Warriors, eux, quittent la compétition la tête haute. Leur propension à envoyer du jeu tous azimut, malgré des moyens parfois limités, mérite un grand coup de chapeau.

Sale-Stade toulousain : 13-19 - Grégory LETORT
Les entraîneurs du Stade toulousain disaient ne pas savoir à quoi s'attendre avant le sixième round de H Cup à Sale. "Le matin, on ne savait pas si les joueurs seraient dans le match, s'ils n'auraient pas la tête ailleurs » avouait Guy Novès. La faute à l'imminence du Tournoi des 6 Nations. A la joie des élus. A la frustration de recalés. L'angoisse des coachs était finalement en trop. "On avait peur de la décompression mais les garçons ont très bien réagi" savourait Philippe Rougé-Thomas. C'est indéniable : victoire 13-19 à Sale, synonyme de quart de finale de H Cup au Stadium contre Paris. Difficile de ressortir une individualité d'une telle démonstration collective. Et pourtant, il en est un qui mérite un hommage particulier : Grégory Lamboley, flanker ou deuxième ligne. Lui n'était pas forcément attentif à l'annonce du groupe par les sélectionneurs. Mais sous la pluie de Sale, il s'est rappelé à leur bon souvenir. Polyvalent peut rimer avec remplaçant. Depuis plusieurs mois, Gregory Lamboley rime avec performant. Titularisé dans un match à l'enjeu indéniable, il a assumé.
Son ambition en 2010 ? "Réaliser de grands matchs dans les rendez-vous d'importance". Contre les Sharks, il n'a pas déçu. Nommé capitaine de touche, ila conduit les débats sans trembler. Pour le reste il a signé un sans faute dans son rôle de flanker pur, conduisant les montées défensives pour Toulouse ne soit jamais attentiste, retardant les ballons dans les rucks et brillant sur tous les soutiens. Il était missionné, il a assumé. "Avec Yannick Bru, le contenu des entraînements est plus précis. Et puis je sais exactement ce qu'il attend de moi. Mon rôle est clair : je ne m'éparpille pas partout ce qui me permet de me donner à 100%. Il m'a changé. Mon jeu est plus structuré". Polyvalent donc pour le meilleur. Lamboley ne pense pas à l'équipe de France mais joue comme s'il était concerné. Lamboley, le symbole d'un effectif galactique du Stade toulousain où les rotations ne nuisent plus à l'efficacité collective. Voilà l'enseignement majeur de ces dernières semaines.

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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeMar 13 Avr - 19:50

Rugby - Coupe d'Europe
12/04/2010 - 17:08

Jauzion redevient le centre du monde


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Le centre toulousain Yannick Jauzion, auteur du premier essai contre Paris dimanche, a ébloui le quart de finale de H Cup de son talent dimanche. Elu homme du match, l'international tricolore a confirmé son retour à son meilleur niveau, qui fait de lui l'un des meilleurs centres de la planète.

Et il a surgi. Alors que les Toulousains butaient irrémédiablement sur la défense parisienne depuis le début de la rencontre, Yannick Jauzion a changé le cours du match. Après une prise de balle suivie d'une passe sur un pas à Fritz, le centre toulousain se rendait de nouveau disponible en ramassant le ballon au sol et passait la ligne en force. On jouait alors les arrêts de jeu de la première mi-temps et c'était le moment idéal pour marquer. Grâce à l'allant et à la capacité de perforation de son joueur, Toulouse virait miraculeusement en tête à la pause (13-10).

"Sur cet essai, on se dispute le ballon avec Romain (Millo-Chluski, NDLR), explique l'international tricolore en souriant. Lui veut partir sur la droite, moi sur la gauche. J'ai eu le dernier mot !" Le mot juste surtout ! Au-delà de la petite histoire, cet essai a complètement relancé les siens, jusque-là incapables de trouver la faille dans la ligne de défense parisienne. Thierry Dusautoir confirme : "En première mi-temps, nous avions un vrai problème dans l'intensité, nous n'y étions pas du tout ! Heureusement, il y a eu un grand Yannick Jauzion. Il nous a maintenus la tête hors de l'eau pendant toute la partie et surtout dans ces moments difficiles. Il a fait un match fantastique et c'est grâce à lui qu'on gagne ce match, grâce à son niveau de performance." Bel hommage rendu par son capitaine, que l'on sait peu enclin habituellement à mettre en avant un individu après une victoire...

Retour gagnant

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Bien sûr, lui mettait l'accent sur le collectif face aux questions des journalistes. "J'ai pris du plaisir. J'ai eu beaucoup d'espaces pour m'exprimer mais c'est le fruit du travail de tout le monde", expliquait-il, insistant sur sa bonne entente avec Florian Fritz et sur le gros travail des avants. Il est impossible toutefois de ne pas le mettre en avant après cette rencontre. Car il a été impliqué sur les trois essais des siens, passant les bras à trois reprises, franchissant quatre fois le rideau défensif parisein et tirant dans son sillage toutes les lignes arrières toulousaines. Il est sorti vainqueur haut la main de son duel avec son partenaire chez les Bleus Mathieu Bastareaud.

A 31 ans, Yannick Jauzion retrouve son meilleur niveau. Il revient pourtant de loin, après une année 2009 laborieuse, marquée par une entorse cervicale et une opération des amygdales. Le joueur aux 68 sélections, qui avait reçu l'Oscar d'or Midi Olympique de l'année 2005, avait déjà montré qu'il redevenait brillant durant le dernier Tournoi des 6 Nations. Il a été éblouissant dimanche au Stadium, livrant probablement sa meilleure performance de la saison. Il n'a pas été élu meilleur homme du match pour rien. Jauzion, considéré comme le meilleur centre du monde en 2003, n'est pas loin de le redevenir. Ça tombe bien, Toulouse aborde la phase la plus importante de sa saison. Et la Coupe du monde n'est plus très loin...

Rugbyrama - Emilie Dudon

....

Vous savez quoi ? Au risque de me faire allègrement chambrer.... jusqu'alors il me sautait pas aux yeux ce joueur. Tout ce que je me souvenais, c'est qu'il avait finit un match avec un œuf de poule en guise de coquard lors de la dernière coupe du monde. Mais à part ça .... c'est un centre, quoi ! C'est pas ce qu'on remarque en premier, un centre ... que je croyais ! C'te blague !!!
Respect Monsieur Jauzion ! Avec un match pareil .... y a rien à dire .... juste à s'incliner ! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 441147
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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeMar 13 Avr - 19:54

Rugby - Coupe d'Europe
12/04/2010 - 16:01

Le tour de Midi Olympique


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Après les qualifications de Biarritz et de Toulouse pour les demi-finales de la Coupe d'Europe, les envoyés spéciaux du Midi Olympique reviennent sur les prestations des représentants français lors des quarts de finale à travers un joueur, un instant clé, une image marquante de chaque rencontre.

Leinster/Clermont (29-28) - MARC DUZAN

A quel esprit tordu, quel cerveau retors doit-on l'idée d'une suppression pure et simple de la H Cup, au seul prétexte de gratter trois pauvres dates au calendrier ? Franchement, on en a même oublié le patronyme et on s'en contrefout. A Dublin vendredi soir, on a probablement assisté à l'un des plus beaux matchs de l'histoire de cette compétition : quelle intensité, quel rythme, quelle ambiance et quel suspens ! Des matchs de coupe d'Europe tels que ce Leinster/Clermont, on redemande, et très vite... Alors, on regrettera, pour les 3000 supporters auvergnats ayant fait le déplacement en Irlandais pour soutenir les Jaunards, que le sort n'ait pas voulu aider Brock James, pétrifié par la pression, à claquer cet ultime drop entre les poteaux du RDS Stadium... L'ASM, portée par un paquet d'avants incroyable et globalement auteur d'un match magnifique, échoue à deux doigts d'un triomphe majuscule chez le champion d'Europe et voit les portes des demi-finales se refermer brutalement. L'année prochaine ? C'est ce que l'on dit en Auvergne depuis trop longtemps déjà...

Biarritz/Ospreys (29-28) - Nicolas AUGOT

Plus de 80 mètres en moins de 11 secondes. L'ailier du Biarritz Olympique Takudzwa Ngwenya a renforcé un peu plus sa légende ce samedi en quart de finale de Coupe d'Europe. Une course folle dans un couloir de deux mètres avec deux défenseurs ridiculisés en chemin, l'Américain a arrêté le temps à Anoeta. Un exploit individuel pour inscrire à la 12e minute un essai que les supporters raconteront encore dans plusieurs décennies. Il avait humilié le Sud-Africain Bryan Habana lors de la dernière Coupe du monde, il a cette fois rappelé à tout le monde que Shane Williams, la star du rugby gallois, venait de fêter ses 33 ans. Surtout, ce contre initié par une relance de Damien Traille symbolise parfaitement la prestation du BOPB lors de cette rencontre. Un succès que les Biarrots se sont offert grâce à un réalisme sans faille. La moindre occasion s'est transformée en points. De bon augure pour la suite.

Toulouse/Stade français (42-16) - Bruno FABIOUX

Il est des choses qui ne se font pas. Rugbystiquement parlant, un joueur mérite toujours le respect, quel que soit son palmarès. A fortiori quand celui-ci est international, a fortiori quand sa carte de visite est épaisse comme un porte- billets de maquignon. Dimanche soir au Stadium municipal de Toulouse, le Stade toulousain a remporté une victoire sans appel sur le Stade français, en quart de finale franco-français de la H Cup. Une belle victoire au bout d'un beau week-end de printemps. Qui plus est sur l'ennemi dit héréditaire. Que le public siffle le buteur parisien, en l'occurence le Bigourdan Lionel Beauxis, malgré les conseils de bienséance bien en vue sur les panneaux lumineux durant les tirs au but, malgré les appels réitérés au fair-play du speaker du stade, ce n'est pas joli-joli, mais bon, disons que cela peut être de bonne guerre. Ce qui ne l'est guère, en revanche, c'est d'accompagner un joueur sur le chemin du banc de touche lors de son remplacement sous une huée de sifflets. Ce fut notamment le cas dimanche quand Sylvain Marconnet a laissé sa place à Rayno Gerber après soixante-treize minutes de combat loyal. Le Givordin en a vu d'autres, du haut de ses trente- quatre balais et de ses quatre-vingt sélections, et il n'a pas moufté en regagnant le bord du terrain d'où il a suivi la fin de la rencontre. Longtemps après la fin du match, il a été le premier à venir signer des autographes et poser pour la photo-souvenir avec des petits supporters toulousains, heureusement encore indemnes du syndrome du chauvinisme. Sylvain Marconnet avait le sourire. Malgré la défaite, malgré les sifflets. La classe, ça ne s'invente pas.

Rugbyrama - La rédaction

...

J'ai pas vu le match de Clermont. Mais j'ai vu les autres. Résumer cela en un mot ? ... euh ..... grisant ! Oui c'est ça. Grisant. Superbes matchs, superbes combats. C'était bon comme du bon pain frais qu'un artisan-boulanger (pas ces trucs industriels, hein !) a fait de ses mains avec amour et un énoooooorme savoir-faire !!! On en redemande !!

En fait y a qu'un truc vraiment, mais vraiment gênant : c'est ces fichus sifflets au stade toulousain !!! Vraiment vous me décevez, là !!!! Moi non plus, je suis pas une grande fan des parisiens (je parle pas du club Stade Français, je parle des gens, les parigos tête de veaux, les arrogants-agressifs-malotrus qui semblent majoritaires à Paris), mais tout ce que vous montrez à les siffler de la sorte, c'est que vous devenez comme eux !!! Et c'est pas un compliment ! Y a pas à dire, au rugby, on respecte l'adversaire ! On siffle pas ! Ca se fait pas !! Si vous voulez sifflez, alors aller voir le foot !!!!!! Non mé !!! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_evil
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Wild Goat

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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeMar 27 Avr - 13:44

Challenge Cup: Connacht - Toulon
Vendredi 30 avril à 20H35
France 4
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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeSam 1 Mai - 20:52

Rugby - Coupe d'Europe
01/05/2010 - 10:45

Toulouse, du beau travail


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AFP

En ce 1er mai, Toulouse n'a pas chômé pour se hisser en finale de la Coupe d'Europe pour la 6e fois de son histoire, en venant à bout du Leinster (26-16) au Stadium. Longtemps accroché par le tenant du titre, le Stade a mis le turbo juste avant l'heure de jeu pour réussir un break décisif.

Fini les clichés... L'adage selon lequel le Stade toulousain construit uniquement ses succès sur le talent et les fulgurances de ses arrières. Cette saison, ce sont bien les avants haut-garonnais qui font avancer l'équipe de Guy Novès et lui montrent la voie de la victoire. Alors oui, Toulouse est qualifié pour la sixième finale de Coupe d'Europe de son histoire mais cette fois, le club le doit en grande partie à un pack irréprochable. Et surtout dominateur. Un huit de devant qui s'est permis le luxe de surclasser celui du Leinster, champion d'Europe en titre. Évidemment, si la province irlandaise possède une des plus belles lignes de trois-quarts du continent, elle est réputée friable devant. Et Toulouse l'a compris. Face aux enchaînements rapides au large des joueurs de Michael Cheika, les locaux ont choisi le pragmatisme et l'efficacité comme réponses en début de match. Avec réussite.

Outre la domination auprès des regroupements, le plus bel exemple de la supériorité toulousaine devant réside en la souffrance du Leinster en mêlée fermée avant la pause. Le pack irlandais a reculé sur chaque introduction ou presque (13e, 27e, 30e) et les Toulousains ont ainsi bénéficié de précieuses pénalités et mis leur adversaire sur le reculoir. L'entrée en jeu du pilier droit springbok CJ Van der Linde à la place de Cian Healy à le demi-heure de jeu n'y changeait pas grand-chose. Le bon sens de la marche... En cela, les averses qui se sont abattues sur Toulouse avant et pendant le match ont peut-être avantagé les Haut-Garonnais. Du moins, ce sont eux qui se sont le mieux adaptés. D'emblée, les trois chandelles parfaitement exécutées par Clément Poitrenaud avaient éclairci le ciel toulousain. Et donné un aperçu du récital des Rouge et Noir. De son côté, David Skrela se contentait de convertir le travail de ses avants (5e, 16e, 31e). Les arrières n'avaient plus qu'à finir le travail, serait-on tenté de dire...

Deux essais toulousains en moins de cinq minutes

Et pourtant, n'est champion d'Europe en titre qui veut... Malgré leur infériorité chronique en conquête, les Leinstermen sont parvenus à faire trembler leurs hôtes durant une grande partie du match, en leur infligeant par instants une terrible pression, notamment grâce à leur remarquable rapidité d'exécution. Pendant certaines périodes, comme dans le premier quart d'heure, les Toulousains se sont ainsi parfois contentés de défendre, à l'image d'un Vincent Clerc irréprochable dans ce domaine et qui a sauvé plusieurs fois les siens du naufrage (10e, 12e, 25e). A la 50e minute, les deux équipes étaient toujours dos à dos (9-9) grâce à la réussite des buteurs visiteurs, Berne (33e, 40e) et Kearney (44e). En début de seconde période, la physionomie de la rencontre avait d'ailleurs totalement changé. La réussite fuyait David Skrela, le buteur maison, et même Maxime Médard qui, sur son premier ballon, se permettait une course de près de 50 mètres en solitaire mais ne parvenait pas à aplatir (42e).

Mais comme espéré, les trois-quarts locaux, parfois stériles ces derniers mois, allaient démontrer qu'ils pouvaient se hisser au niveau de leurs avants. Et c'est l'homme en forme du Stade toulousain qui faisait basculer la partie. Yannick Jauzion, revenu à son meilleur niveau ces dernières semaines, concluait tout en puissance une magnifique action de son équipe (56e). Et lui permettait de poser un premier pied au Stade de France (16-9). Quatre minutes plus tard, c'est David Skrela, auteur d'une belle inspiration pour s'infiltrer en plein coeur de la défense irlandaise et élu homme du match, qui lui assurait d'y mettre le deuxième (23-9). Déjà auteur d'un doublé en quart de finale contre Clermont, Jamie Heaslip faisait pourtant durer le suspense (65e) mais c'était trop tard... Toulouse était lancé à l'assaut dune quatrième couronne européenne. Que ce soit contre le Munster ou Biarritz, autrement plus efficace dans le petit périmètre que le Leinster, une chose est certaine : la performance du pack toulousain sera encore une fois décisive. Certainement davantage...

Rugbyrama - Jérémy FADAT, envoyé spécial

...

Première mi-temps un peu rock 'n' roll et la 2è mi-temps magnifique !! Les 2 essais toulousains sont des modèles du genre ... et la melée fut plus qu'impressionnante !! Y ont pas vu le jour les irlandais !!!
Bref ... un super moment !! .... Vivement demain et l'autre match ... et vivement la finale !!! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 428677 L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 452788 L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 78115
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MessageSujet: Re: L'EUROPE EN FOLIE   L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 Icon_minitimeLun 3 Mai - 22:05

Rugby - Coupe d'Europe
03/05/2010 - 11:39

A la santé du rugby français


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Icon Sport

Le rugby hexagonal était à la fête ce week-end avec les qualifications de Toulouse, Biarritz et Toulon en finales de la Coupe d'Europe et du Challenge européen. Leur présence à ce niveau de la compétition témoigne de sa bonne santé actuelle. Eléments de réponse pour expliquer cet état de fait.

C'est forcément ce qui ressort après les victoires de Toulouse, Biarritz et Toulon le week-end dernier : le rugby français se porte extrêmement bien. L'ailier international toulousain Vincent Clerc ne dira pas le contraire : "cette finale 100% française et la présence de Toulon dans la finale du Challenge européen confirment la bonne santé du rugby tricolore". En effet, après le grand chelem réalisé par les Bleus durant le dernier Tournoi des 6 Nations, ces bonnes performances sur la scène européenne placent le rugby hexagonal au premier plan.

Pourtant, il y a un an seulement, les Bleus avaient peiné dans le Tournoi, terminant seulement troisièmes du classement final. En H Cup, un seul club français était qualifié pour les quarts de finale et aucun pour la demie. Seul Bourgoin avait brillé en allant jusqu'en finale du Challenge, Brive étant sorti dès les quarts. Dès lors, comment interpréter les bons résultats actuels ? Tous ceux à qui nous avons posé la question – joueurs, entraîneurs ou dirigeants -, ont eu la même réponse : c'est du côté du Top 14 qu'il faut regarder. L'entraîneur des arrières biarrots Jack Isaac résume sa pensée en quelques mots : "Notre championnat domestique est particulièrement difficile. Voilà le résultat..." Son deuxième ligne Jérôme Thion précise : "On sait pertinemment que tous les meilleurs joueurs européens, anglais, australiens ou néo-zélandais, viennent ici. Obligatoirement, le niveau augmente et à la fin, on retrouve deux grosses équipes françaises en finale de H Cup. Le Top 14 est le meilleur championnat d'Europe, si ce n'est mondial."

De bon augure à un an du Mondial

Pour le président du BOPB – et ancien président de la LNR – Serge Blanco, "tout le travail fourni pendant la décennie écoulée est en train de payer. Contrairement à ce que l'on peut faire croire, la famille du rugby français peut être fière de ce qu'elle a fait. Le Top 14 est un championnat très difficile. Aujourd'hui, il y a littéralement sept ou huit équipes susceptibles d'être championnes de France. Il n'y a pas un championnat au monde qui peut se permettre cela, dans n'importe quelle discipline. Le Top 14 a bien grandi. Il faut continuer à l'alimenter, et faire en sorte que notre sport devienne le deuxième sport le plus populaire en France."

Le fait particulièrement intéressant de cette histoire, c'est que cette bonne santé des clubs rejaillit sur l'équipe de France. Si 2009 avait été l'année de l'Irlande, 2010 semble bien partie pour être celle des Bleus. Reste maintenant à savoir ce qu'il adviendra de 2011. A ce sujet, l'un des plus illustres internationaux de l'histoire du rugby français se montre optimiste : "Il n'y a pas de raison qu'en Coupe d'Europe, nos clubs dominent, et que l'équipe de France ne puisse pas être compétitive pour la Coupe du monde", affirme Serge Blanco. Il n'y a pas de raison, effectivement...

Rugbyrama - Emilie Dudon

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C'est vrai qu'on décalque la barraque cette année !!! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 662632
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Rugby - Coupe d'Europe
22/05/2010 - 15:48

Un Toulouse quatre étoiles


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Au terme d'une rencontre palpitante, Toulouse s'impose devant Biarritz (21-19) et glane son quatrième titre européen. Supérieurs en mêlée fermée et inspirés offensivement, les Haut-Garonnais se sont appuyés sur les bottes de Skrela et Fritz. Le BO aura des regrets, marquant le seul essai du match.

Il a fallu attendre la 73e minute de jeu pour vraiment vibrer. Après plus d'une heure d'un match engagé mais pas flamboyant, le centre biarrot Karmichael Hunt aplatissait le premier essai de la rencontre après un contre sur la ligne médiane. Le BOPB revenait à 19-21 et le public du Stade de France s'enflammait pour la première fois. Mais, malgré toute l'énergie (du désespoir ?) mise par les Biarrots dans leur fin de match, ils ne pouvaient empêcher la machine toulousaine de marcher vers son quatrième titre sur la scène continentale. Après 1996, 2003 et 2005, Toulouse est sacré roi d'Europe en 2010 au terme d'un match parfaitement maîtrisé. Biarritz lui perd pour la deuxième fois en finale de H Cup.

Pourtant, l'entame était bien biarrote. Plus agressifs, dominateurs à l'impact, les Basques occupaient parfaitement le terrain et monopolisaient le ballon. N'ayant pas joué depuis trois semaines, ils voulaient soigner leur début de match... Ils ne parvenaient pas à trouver la faille dans la ligne de défense adverse toutefois et devaient compter sur la botte de Yachvili pour scorer. Mais les Toulousains n'allaient pas subir plus longtemps. Ils s'appuyaient sur leur domination en conquête (en mêlée notamment avec deux pénalités et deux bras cassés sifflés en leur faveur en une demi-heure) pour refaire leur retard. C'étaient eux qui, impulsant enfin du rythme dans leurs attaques, se montraient les plus dangereux sur leurs ballons d'attaque, à la 34e minute notamment après une percée de Fritz sur un ballon de récupération dans ses 40 mètres. C'est d'ailleurs ce même Fritz, auteur d'une très bonne performance, qui permettait aux siens de virer en tête à la pause 12-9 grâce à un drop à la 39e (et une pénalité de 53 mètres à la 22e).

Maîtrise toulousaine

Au retour des vestiaires, la pression restait haut-garonnaise. Et elle se faisait chaque minute plus prégnante, étouffante. A la 47e, les hommes de Guy Novès laissaient de nouveau échapper une occasion imparable avec Médard qui commettait un en-avant à 5 mètres de la ligne sur une situation de deux contre un. Mais, même en supériorité numérique après le carton jaune reçu par Albacete (48e), le BOPB ne parvenait pas à reprendre le contrôle du jeu. Pour preuve, Toulouse parvenait à inscrire six points durant ses dix minutes à quatorze (drops de Skrela; 52e, 59e), contre trois seulement pour Biarritz (pénalité de Yachvili, 50e).

Acculés dans leur camp, les Basques passaient leur fin de match à endiguer les assauts adverses. Moins forts, tout simplement, que ces Toulousains impressionnants de maîtrise. Skrela, en réussite dans ses tentatives (5/7), se chargeait de transformer les pénalités offertes par les Biarrots, toujours gênés en mêlée notamment. Lecouls, Johnston et Dusautoir n'étaient plus dans le camp basque comme ce fut le cas lors de la finale de Top 14 2006 et ça se voyait... A la 71e, le Stade toulousain menait 21-12. On pensait alors qu'il se dirigeait tranquillement vers le titre. Puis Hunt surgit... Un sursaut d'orgueil. Juste de quoi pimenter un peu le scénario de cette finale logiquement remportée par les Rouge et Noir. Biarritz, qui a joué trop peu, trop tard, n'a pas sauvé sa saison. Toulouse, qui affirme depuis des semaines que la H Cup constituait son seul objectif cette saison, si.

Rugbyrama - Emilie DUDON, envoyée spéciale

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Super match ... super vainqueur ! Et pour un grand vainqueur il faut un grand adversaire ... alors bravo le BO ! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 21913 L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 78115
Toulouse a fait une super saison .... du grand Toulouse ! L'EUROPE EN FOLIE - Page 4 452788
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