L'EUROPE EN FOLIE

et sinon Han, tu connais Gloucester (prononcer "Glo-ste")... ?

http://www.gloucester.gov.uk/tourism

la valise est prête ? :-)

Pas de valise ... une baguette magique et un Sainte Maure .. avec la paille ...

Gloucester ... sa cathédrale utilisée pour des scènes des films Harry Potter ... sa célèbre « course au fromage », où chaque année de courageux jeunes gens se lancent dans la descente très raide de la Cooper's Hill ...

Mine de rien ... avec ce truc ... on est en plein délire ... c'est comme dirait mon "ami" cHarles ... Ubuesque ... les français qui soutiennent les anglais et les anglais qui soutiennent les français ... franchement ... ça me fait sourire ... pas vous ?

TOP 14 / BOURGOIN : BOURGOIN CONTRE LA FRANCE



mardi 05 mai 2009 - 12h08
Seul représentant français en Coupe d’Europe, Bourgoin attire les regards noirs des clubs en cours pour la qualification européenne. Biarritz, Bayonne et Brive seront supporters de Northampton. Un comble.
L’honneur du rugby français est sauf depuis samedi. Il y a aura un représentant tricolore en finale d’une coupe d’Europe. Après une saison marquée par les résultats décevants en H Cup et en équipe de France, les représentants des instances françaises peuvent se réjouir de cette réussite du club berjallien. Pour autant, cette qualification ne fait pas que des heureux au sein du Top 14. En cas de victoire finale, Bourgoin empocherait son billet pour la prochaine H Cup au détriment du sixième du championnat. Biarritz, Bayonne et Brive regardent d’un œil méfiant le joli parcours du club isérois. Au point d’être les premiers supporters de Northampton à leur plus grand regret. « Si Bourgoin est en finale, on va être supporters d’une équipe anglaise pour que Bourgoin ne gagne pas, regrettait le Briviste Jean-Baptiste Péjoine. Ce sont encore des petits détails qu’il faut régler dans le rugby européen entre l’ERC, le board et la Ligue. Ce n’est pas cool de supporter une équipe anglaise. Bourgoin est notre dernier représentant en Coupe d’Europe. Et c’est dommage que nous, Bayonne et Brive ne soyons pas derrière eux. »

Actuellement sixième, Bayonne pourrait être le grand perdant. D’autant que l’Aviron a indirectement contribué à la qualification berjalienne pour les quarts de finale. « On va jouer un sacré tour aux Bayonnais si on leur prend la place de H Cup, reconnaissait Florian Denos. Ce sont eux qui nous ont qualifiés en allant gagner à Viadana à la dernière seconde (Ndlr : 24-22). Ça serait dommage pour eux. Mais, le rugby, c’est fait comme ça. » Le reste du parcours européen des hommes d’Eric Catinot ne doit rien à personne avec une victoire de prestige aux London Irish. Ils devront encore faire preuve de fortes ressources mentales pour s’imposer en terres anglaises face à Northampton. « Il y a très certainement eu un lobbying de la part des clubs français en course pour une qualification en H Cup, a déclaré Catinot dans les colonnes du Dauphiné Libéré. L'enjeu est de taille avec une enveloppe de 400 000 euros et l'assurance de trois grosses recettes. »

Une décision amère au point de regretter le manque d’investissement des dirigeants du club. « On a trop compté sur les instances du rugby français pour défendre nos intérêts, poursuit Catinot. Les dirigeants berjalliens ont fait un recours mais je n'y crois pas. On a le sentiment que tout est fait pour que l'on ne gagne pas. C'est un manque de respect vis-à-vis de nos supporters. On s'en servira de motivation. » En refusant d’accorder un billet en H Cup en cas de relégation, la LNR et l’ERC font également partie des éléments contraires pour Bourgoin. Pas de quoi ternir le ciel bleu que s’est offert le CSBJ après une saison éprouvante marquée par des difficultés financières et une âpre lutte pour le maintien. D’autant que le club du président Flamand pourra compter sur des supporters… anglais. En cas de succès, Northampton pourrait en effet ravir le dernier billet anglais au sixième de H Cup : Gloucester ! Qui a dit que tout le stade serait hostile à Bourgoin ?

BUT


Bourgoin : Gloucester supporter !

Gloucester, sixième du championnat d'Angleterre, sera supporter de Bourgoin en finale de Challenge européen puisqu'en cas de succès de Northampton, le club serait privé du billet qualificatif pour la H Cup.
A l'inverse de Biarritz, Bayonne et Brive en France, Gloucester sera supporter de Bourgoin en finale du Challenge européen face à Northampton. Sixième du championnat, le club du Français Olivier Azam pourrait se faire déposséder de son billet pour la H Cup en cas de succès des Saints. Les Berjalliens pourront compter sur un soutien inattendu d'autant que la finale se déroulera à Kingsholm à? Gloucester.

Pendant quelques jours ... Bourgoin va devenir ...



Comme il dit Berlusconi ... ils sont fous ces romains ... !

Challenge européen - 06/05/2009

Imbroglio à la française

Depuis deux jours, un incroyable imbroglio entre Bourgoin, la LNR et l'ERC entoure la désignation de Gloucester pour accueillir la finale du Challenge européen. Retour sur ce psychodrame qui vire au conflit entre Pierre-Yves Revol, président de la LNR et Jean-Pierre Lux, président de l'ERC.

Bourgoin, frustré par la désignation de Gloucester pour accueillir la finale du Challenge européen entre le club isérois et Northampton le vendredi 22 mai (20h45), avait allumé une première mèche lundi : "Notre déception est bien évidemment immense. […] Les supporters sont contraints de se déplacer un vendredi pour un voyage long, complexe à organiser et coûteux ; Gloucester est situé à moins de 150 km de Northampton, les supporters de nos adversaires n'en demandaient pas tant ! ".
La Ligue Nationale de Rugby a pris le relais dès mardi en réagissant également de façon vive à cette annonce par la voix de son président Pierre-Yves Revol : "En choisissant la ville de Gloucester pour organiser la finale du Challenge européen, l'ERC n'a absolument pas pris en compte l'intérêt des clubs français et plus particulièrement celui de Bourgoin. La LNR n'a même pas été informée, ni consultée dimanche dernier sur le choix de la ville arrêté par l'ERC". Et voilà que la polémique à dimension continentale est en train de prendre une tournure franco-française. En effet, l'ERC, qui a pris cette décision, est présidé par un Français, Jean-Pierre Lux, également vice-président… de la LNR.

De manière ironique mais évidemment dénonciatrice, Pierre-Yves Revol a fait remarquer que Jean-Pierre Lux était donc bien placé pour prendre contact avec la Ligue. Mais de son côté, ce dernier a tenu à apporter sa version des faits : "Je suis très déçu et surpris de cette annonce de fausses informations. Nous avions adressé fin janvier un courrier au président de la Fédération française de rugby et au président de la LNR […] pour savoir si la France était candidate à l'organisation de la finale du Challenge européen. […] Nous n'avons rien reçu en retour". Selon lui, c'est à ce moment-là que Bourgoin (ou Brive, encore qualifié) aurait dû alerter la LNR pour qu'elle fasse acte de candidature. L'explication serait donc simple : la France n'était tout simplement pas candidate à l'accueil de l'événement. Mais Pierre-Yves Revol se justifie en expliquant que le lieu du rendez-vous ne devait être choisi qu'à la veille des demies. Un incroyable imbroglio doublé d'un conflit, si ce n'est d'intérêt, au moins de personnes.

Tout le monde se renvoie la balle

Et l'histoire ne va pas en rester là puisque dans la foulée de la demande par le club de Bourgoin d'un réexamen de la décision, la LNR a aussi réclamé "à l'ERC de reconsidérer sa position pour l'organisation de la finale […] de façon prioritaire en France qui ne l'a pas accueilli depuis 1999/2000 […] ou à défaut dans la ville anglaise la plus accessible pour les supporters berjalliens". Londres était d'ailleurs un temps pressenti par recevoir la finale mais Jean-Pierre Lux a justifié le choix de Gloucester plutôt que le Twickenham Stoop, en banlieue de la capitale anglaise, "pour des raisons de sécurité " liées à l'étape du circuit mondial de rugby à VII organisée à Twickenham les 23 et 24 mai. Et le président de l'ERC a prévenu qu'il était désormais hors de question de changer le lieu désigné. Une question se pose alors : Qui est le véritable responsable de ce fiasco ? Chacun se renvoie la balle et le président de la LNR en profite pour remettre sur le tapis la polémique du rugby hexagonal lésé dans les compétitions européennes. Une controverse également alimentée par les récentes décisions arbitrales défavorables aux clubs français.
En attendant, pendant que Jean-Pierre Lux et Pierre-Yves Revol se déchirent par communiqués interposés, c'est Bourgoin qui pâtit de ce psychodrame rugbystique. Le club isérois a certes tenté d'apaiser les tensions mardi en fin d'après-midi : "Dans l'éventualité où notre demande ne trouverait écho auprès des instances dirigeantes, le CSBJ travaille sans plus attendre […] pour proposer à ses partenaires et supporters un déplacement dans les meilleures conditions. […] Le CSBJ fait tout son possible pour que cet évènement soit une réussite partagée !".
Mais Bourgoin peut légitimement se sentir lésé et paye doublement les frais des subtilités et des ambigüités des règlements et décisions de l'ERC. En effet, la finale étant programmée le vendredi soir, les hommes de Xavier Péméjà et Eric Catinot devront certainement se priver du soutien de nombreux supporters berjalliens. Mais aussi d'une partie de la France. S'ils venaient à gagner, ils empocheraient le ticket européen promis à la 6e place du Top 14 convoitée par Brive, Biarritz ou Bayonne. Ces derniers ne seront donc pas derrière leurs compères français... L'ultime absurdité de toute cette histoire.


Rugbyrama - Jérémy Fadat - 06/05/2009 14:12

...

décidément cette histoire c'est du grand ... Et encore et toujours le pouvoir !!

Challenge européen - 06/05/2009

La finale déplacée ?

Nouveau rebondissement concernant la finale du Challenge européen entre Bourgoin et Northampton le vendredi 22 mai (20h45), initialement prévue à Gloucester. Selon nos informations, elle pourrait finalement avoir lieu à Londres.

La polémique entre Bourgoin, la LNR et l'ERC concernant la désignation de Gloucester pour accueillir l'évènement pourrait connaître son épilogue jeudi matin. Selon toute vraisemblance, l'ERC devrait annoncer que, comme lors des deux précédentes éditions, la finale se tiendra au Twickenham Stoop, dans la banlieue londonnienne. La possibilté de programmer le rendez-vous dans ce stade avait pourtant été écartée "pour des raisons de sécurité" liées à l'étape du circuit mondial de rugby à VII prévue à Twickenham les 23 et 24 mai.
L'ERC pourrait donc céder à la pression du club isérois et surtout de la Ligue Nationale de Rugby qui, par la voix de son président Pierre-Yves Revol, expliquait qu' "en choisissant la ville de Gloucester pour organiser la finale du Challenge européen, l'ERC [n'avait] absolument pas pris en compte l'intérêt des clubs français et plus particulièrement celui de Bourgoin". En effet, Gloucester se trouve à moins de 150 kilomètres de Northampton. La Ligue se plaignait également de ne pas avoir été consultée sur le choix du lieu retenu et réclamait à l'ERC "de reconsidérer sa position pour l'organisation de la finale […] de façon prioritaire en France qui ne l'a pas accueilli depuis 1999/2000 […] ou à défaut dans la ville anglaise la plus accessible pour les supporters berjalliens". Il s'agissait alors de Londres.

L'ERC devrait céder


L'ERC n'aurait donc pas été jusqu'à retenir un stade français et donc inversé totalement la tendance de son premier choix mais effectuerait une concession en acceptant que la rencontre se déroule dans la capitale anglaise. Mardi, Jean-Pierre Lux, le président français de l'ERC et également vice-président de la LNR, excluait pourtant de procéder à un nouvel examen de la décision. "Nous avions adressé fin janvier un courrier au président de la Fédération française de rugby et au président de la LNR […] pour savoir si la France était candidate à l'organisation de la finale du Challenge européen. […] Nous n'avons rien reçu en retour", ajoutait-il pour expliquer sa position.
Certes, l'annonce, qui devrait être effective jeudi matin, ne changera pas les plans de chaque supporter berjallien. En effet, il apparaît de toute façon compliqué pour certains de faire le déplacement en Angleterre un vendredi soir mais elle permettra au moins d'apaiser les esprits et de ramener le calme après plusieurs sorties virulentes. L'imbroglio tournait au conflit entre Jean-Pierre Lux et Pierre-Yves Revol... Une virée londonienne pourrait finalement contenter tout le monde.


Rugbyrama - Jérémy FADAT - 06/05/2009 19:26


...


Bah on verra bien....

Dicton du jour ... Londres ici Londres ... les Manchots de l'ERC et les Pingouins de la Ligue parlent aux Dauphins ...


Tu viens biquette ? ... J'ai trouvé un vol Tours Loire Valley / Londres à 20 € !!!!

Welcome to the world-famous Twickenham Stoop, home of Harlequins Rugby League.




Ch.européen : La finale à Londres ?

L'ERC envisage de programmer la finale du Challenge européen entre Bourgoin et Northampton au stade de Twickenham Stoop à Londres.
L'ERC serait prêt à faire des concessions sur le lieu de la finale du Challenge européen initialement programmée à Gloucester. Un choix qui avait engendré une grande vague de contestation du côté de Bourgoin s'estimant défavorisé par rapport à Northampton. Du coup, le président de l'ERC Jean-Pierre Lux envisage de faire disputer la rencontre à Londres au Twickenham Stoop. « Devant l'émotion suscitée par le choix de Gloucester, nous réfléchissons à l'éventualité de jouer la finale dans le stade des Harlequins de Londres », a-t-il indiqué mercredi.

NC (Rédaction Sport365.fr)

rugby
Challenge Cup - Finale : Northampton / Bourgoin

Vendredi 22 mai à 20h35

Vivez en direct sur france4.fr une finale décisive pour Bourgoin !
Bourgoin est parti dans une quête d’un second titre de Challenge Cup. En effet, ils avaient remporté en 1997, la première édition. S’ils remportent à nouveau le titre, Bourgoin pourra rivaliser avec les Harlequins, les Sale Sharks et Clermont. Bourgoin, se retrouve seul devant un club anglais qui n'a pas dit son dernier mot ! C'est en effet Northampton qui recevra l'équipe française dans le stade de Twickenham Stoop. Si Bourgoin désire accrocher le titre, ils devront renouveler une performance similaire à celle contre les London Irish (32 - 20)

http://video-direct.france4.fr/player.php?id=445

Source : France 4

A suivre donc sur le net ou à la télé sur France 4 (TNT) à condition que la chaine ne décide pas de diffuser... Taratata... comme certains programmes l'annonce....

La classe ....

La phrase: "Nous, on est en vacances. Leur finale leur appartient. Quoi qu'il arrive, le rugby français en sortira grandi." Jean-Baptiste Péjoine, demi de mêlée du CA Brive Corrèze, au micro de Jour de Rugby.

Une semaine d'attente. Jusqu'à vendredi et la finale de Challenge Européen, qui opposera le CSBJ aux Anglais de Northampton, à Londres, Brive va vivre dans l'attente de savoir si sa sixième place finale au classement de la saison régulière du Top 14 lui vaudra ou non de disputer la prochaine H-Cup. Beaux joueurs, les Corréziens, à l'image de Péjoine, ne souhaitent pas le malheur des Berjalliens, conscients que leurs destin ne leur appartient plus: "Quoi qu'il arrive, le rugby français en sortira grandi. Soit il y aura un nouveau club français champion d'Europe, soit il y aura un club ambitieux supplémentaire en H-Cup.

Bourgoin a annoncé mardi avoir reçu 50 000 euros de la part de plus de 300 donateurs.
Les supporters du CSBJ se mobilisent. « Plus de 300 donateurs ont déjà apporté leur promesse de soutien au club pour un montant d'environ 50 000 euros, annonce le club isérois sur son site internet. Nous souhaitons d'une part que ces promesses se concrétisent au plus tôt et d'autre part que d'autres donateurs se mobilisent afin d'atteindre notre objectif de 100 000 euros. Ces dons permettront de préparer sereinement le budget de la saison prochaine. »

JFP (Rédaction Sport365.fr)


Un club pas comme les autres ...
50 000 euros ... c'est 7 % des gains que touchera le barbu à Paris ...

Ibanez, N'tamack, Dominici et le rugby français au soutien de Bourgoin

Lors de la conférence de presse consacrée à la finale 2010 de la HCup au Stade de France de Saint-Denis, Raphaël Ibanez, Emile N'tamack et Christophe Dominici ont fait part de leur soutien au CS Bourgoin-Jallieu qui dispute ce week-end le titre de Challenge européen.
19/5/2009 par Nicolas LAVALLEE


Après une saison difficile en RUGBY TOP 14 Orange, les Isérois du CS Bourgoin-Jallieu ont l'occasion de remporter le Challenge européen face à Northampton. Douze ans après avoir soulevé le Bouclier européen, les Ciel et Grenat peuvent s'offrir un nouveau trophée et une qualification directe en HCup malgré une 11e place en championnat de France. "Disputer et gagner une rencontre européen de ce calibre c'est bien pour un club comme Bourgoin qui se bat dans un championnat domestique très homogène et qui aura lutté cette saison", estime Christophe Dominici entraîneur du Stade Français. "Le Challenge européen peut sembler être une consolante ou une "petite coupe d'Europe" mais l'adversaire de Bourgoin, Northampton est une grosse équipe et c'est l'occasion pour les deux équipes de concrétiser un objectif sportif", ajoute t-il.

Pour l'ancien capitaine du XV de France et pilier des London Wasps, Raphaël Ibanez, "un trophée est un trophée. Une ligne sur un palmarès c'est très important. En Angleterre, il n'y a pas de "petite" ou de "grande" Coupe il y a une finale à gagner. Tous les titres sont importants et tellement de clubs auraient souhaités être à la place de Bourgoin que cette finale n'est pas à prendre à la légère. Lever un trophée est une très bonne habitude, quelque soit la compétition. Le culte de la victoire s'entretient." Une affirmation relayée par l'entraîneur du XV de France, Emile N'tamack, champion d'Europe avec Toulouse: "Le Challenge peut ne pas ^paraître important mais ce type de confrontation est très proche du niveau international. Pour aguérir un joueur et l'habituer à ce qu'il retrouvera au plus haut-niveau, ce sont des matchs à prendre au sérieux. Les Berjalliens ont vécu une saison difficile et le groupe sportif a l'occasion de montrer sa valeur. Un succès marque la fin d'une belle aventure humaine qui reste gravée en chacun et dont ils reparleront plus tard."

Si Christophe Dominici et Emile N'tamack auront à coeur de soutenir Bourgoin comme représentant du rugby français, Raphaël Ibanez rappelle dans un sourire qu'en cas de succès du CSBJ, les London Wasps seraient qualifiés en HCup. Ce qui ne l'empêche pas de penser à l'intérêt du rugby hexagonal: "Ce sera un match intéressant face à une équipe championne d'Europe en 2000 et qui possède de très bons éléments". En 1997, Bourgoin avait remporté la première édition de la seconde Coupe d'Europe, la Conférence européenne face à Castres. De ce succès Bourgoin a tiré l'expérience l'amenant ensuite à disputer de nouvelles phases finales de championnat ou européenne. Douze ans après le premier et unique trophée de son histoire, le CSBJ a l'occasion de le resoulever. Et de s'offrir un nouvel avenir.

Source : LNR

Bon ... l'opération allumage de cierges a commencé dans toutes les églises de Touraine ... faudra sacrément être costaud pour venir à bout des Saints ...
Voici Benji ... Viennois comme Solo ...
le fidèle des fidèles à la maison ciel et grenat ...
Ce garçon est pétri de qualités ...
Il n'a pas choisi comme les Papé ... Chabal ... Fritz ... Nallet ... et demain Parra et David ... de quitter le navire berjallien ... au détriment sans doute d'une belle carrière internationale ... car en tout honnêteté ... et c'est un viennois qui vous parle ... entre Benji et Trinh-Duc ... il y a à mon avis pas photo ...


Rugby - Ch. Eur. - Bourgoin
Boyet : «C'est unique»



Benjamin Boyet, comme tous les Berjalliens, déborde de motivation pour la finale.(L'Equipe)Bourgoin se prépare à disputer la finale du Challenge Européen face à Northampton, qualification pour la Coupe d'Europe à la clé. Pour Benjamin Boyet, il s'agit d'un moment unique qui vient récompenser une saison longue et difficile. Et il n'est nul besoin de chercher la motivation, tant l'équipe est tendue vers cet objectif.

«Comment allez-vous aborder cette finale après une saison difficile ?
C'est un moment particulier, c'est certain, car nous avons connu une saison très éprouvante avec un maintien dans le Top 14 assuré seulement lors de l'avant-dernière journée face à Castres à domicile. Maintenant, on va jouer quelque chose d'unique avec une qualification en H-cup au bout en cas de victoire. Cette finale, le groupe l'a en tête depuis notre match face à Worcester et il n'y a pas besoin de remonter les joueurs pour aller chercher un supplément de motivation. Nous savons tous que nous avons la possibilité de terminer l'exercice avec un titre européen en poche et faire en sorte que cette saison, malgré les difficultés rencontrées, soit la plus belle des trois dernières que nous avons vécues.

Comment estimez vous cette équipe de Northampton ?
C'est certainement un ton au-dessus des équipes que nous avons pu battre pour arriver en finale. C'est très fort physiquement, ils savent conserver les ballons et multiplier les temps de jeu. A nous de contrer cette belle mécanique comme on a su le faire aux London Irish ou face à Worcester à Rajon. Il faut impérativement tenir le score dans ce genre de rencontre même si nous sommes menés. Une chose est sûre, il n'y aura plus d'effet de surprise et cette formation de Northampton nous attend au tournant.

Vous êtes le seul avec Pascal Peyron à avoir disputé la dernière finale Européenne en 99 ?
C'est vrai, et pour moi face à Clermont-Ferrand en 1999 c'était la première fois que je jouais dans un grand stade à Lyon devant 30.000 spectateurs. Aujourd'hui, le contexte est bien différent car à cette époque on était bien plus souverain en championnat et c'était une finale entre deux équipes françaises qui s'était jouée pratiquement à domicile. A Londres, ce sera forcément différent car on va jouer à l'extérieur même si je suis surpris et ravi que tant de supporteurs du CSBJ se mobilisent pour venir nous encourager.» (AFP)

des nouvelles du club has been ...



EUROPEEN / BOURGOIN : DIX ANS APRÈS
Jean-François PATURAUD

mercredi 20 mai 2009
Benjamin Boyet et Pascal Peyron sont les seuls Berjalliens encore présents à avoir vécu la finale du Bouclier européen contre Montferrand en 1999. L’ouvreur et le pilier veulent prendre leur revanche vendredi contre Northampton.
Ils ne sont que deux dans ce cas-là. Dix ans après la finale du Bouclier européen contre Montferrand à Lyon, Benjamin Boyet et Pascal Peyron sont deux les seuls joueurs de l’effectif actuel de Bourgoin à retenter leur chance en finale du Challenge européen contre Northampton vendredi à Gloucester. Si beaucoup d’éléments ont quitté le CSBJ au fil des saisons, et pas des moindres à l’image de Bonnaire, Chabal, Nallet et tant d’autres, l’ouvreur et le pilier, eux, sont restés fidèles à leur club de cœur. « C'était la première fois que je jouais dans un grand stade à Lyon devant 30 000 spectateurs, se souvient Boyet, un temps incertain pour cette rencontre. Aujourd'hui, le contexte est bien différent car à cette époque on était bien plus souverain en championnat et c'était une finale entre deux équipes françaises qui s'était jouée pratiquement à domicile. A Londres, ce sera forcément différent car on va jouer à l'extérieur même si je suis surpris et ravi que tant de supporteurs du CSBJ se mobilisent pour venir nous encourager. »

« C'est vrai que les deux contextes n'ont rien à voir, confirme Peyron dans les colonnes du Dauphiné. Il était beaucoup plus positif qu'aujourd'hui et on était à l'époque sur une bonne dynamique. Cette saison-là, on avait atteint les demi-finales du championnat. Et on s'était donc qualifiés pour la finale du Bouclier européen. On avait un peu plus de certitudes. » Qualifié pour cette dernière marche européenne, Bourgoin a, il est vrai, terriblement souffert cette saison en championnat. « Nous avons connu une saison très éprouvante avec un maintien dans le Top 14 assuré seulement lors de l'avant-dernière journée face à Castres à domicile, reprend Boyet. Maintenant, on va jouer quelque chose d'unique avec une qualification en H-cup au bout en cas de victoire. Nous savons tous que nous avons la possibilité de terminer l'exercice avec un titre européen en poche et faire en sorte que cette saison, malgré les difficultés rencontrées, soit la plus belle des trois dernières que nous avons vécues. »

Battus par les Montferrandais (35-16) voilà dix ans, Boyet et Peyron entendent bien ne pas laisser filer cette nouvelle occasion vendredi. Après avoir affronté Worcester et les London Irish ces derniers mois, le CSBJ devra venir à bout des Saints de Northampton dans un environnement hostile. Alors forcément, les échecs passés pourraient servir à mieux préparer ce rendez-vous. « J'ai un peu d'expérience et je vais essayer de faire passer un message, reconnaît Peyron. En 1999, on avait abordé la finale sans trop de pression. C'est important dans les moments qui précèdent de ne pas trop faire le match dans la tête. C'est le meilleur moyen de se planter. On devra donc agir de la sorte, en restant serein avant l'événement. Le tout, c'est de ne pas avoir de regrets. » Pas une deuxième fois.

http://www.france4.fr/bandesannonces/index.php?id_ba=213

Challenge européen - 21/05/2009 - 14:01
Le XV de Bourgoin

Pour la finale du Challenge européen, les entraîneurs de Bourgoin ont confirmé Anthony Forest au poste d'arrière. Florian Denos est sur le banc.

A. Forest ; Coetzee, Viazzo, David, Coux ; (o) Boyet, (m) Parra ; Labrit, Jooste, Frier (cap.) ; Levast, Basson ; Wihongi, J. Genevois, Tchougong.

Remplaçants.- Vigneaux, Cardinali, T. Genevois, S. Nicolas, M. Forest, M. Nicolas, Denos.

Rugbyrama

...
Aller.... on allume les cierges , et on croise tous les doigts !! ........

Le XV de Northampton face à Bourgoin

Le staff de Northampton a communiqué ce jeudi la composition de l'équipe qui affrontera Bourgoin en finale du Challenge européen, rencontre programmée à Twickenham vendredi.

Le XV de Northampton:
Foden - Diggin, Clarkin, Downey, Reihana - (o) Myler, (m) Dickson - Gray, Easter, Best - Kruger, Fernandez-Lobbe - Murray, Hartley, Tongauiha.
Remplaçants: Sharman, Smith, Day, Lawes, Dickens, Everitt, Ansbro.

http://www.sports.fr

Spoiler:

oops

Spoiler:

Bon match à tous !

Tu te trompes ... Voici ... Louise BOURGOIN ... reine de la Bourbre ...





Rugby – Finale du Challenge Européen
Boyet : « On a un ticket à aller chercher »La rédaction avec Edward Jay - RMC.fr, le 22/05/2009
Ce soir au Twickenham Stoop, Bourgoin défie les coriaces Saints de Northampton en finale du Challenge Européen. Pour le demi d’ouverture berjallien, c’est l’occasion inespérée de décrocher une qualification pour la H-Cup.
Benjamin Boyet, comment aborder-vous cette finale ?
C’est un moment particulier. Le championnat est fini, tout le monde est en vacances, sauf nous. Mais on va jouer une qualification en Coupe d’Europe et c’est vraiment une joie de participer à ce match.
Quelles sont les caractéristiques de Northampton ?
C’est très fort physiquement. Cette équipe conserve énormément le ballon. Ça fait trois semaines qu’ils n’ont pas joué. Ils ont dû bien se préparer et nous étudier dans les moindres détails. Certains plaisantent en disant qu’ils connaitraient mieux nos touches que nous. (Rires)
Ils sont tout de même moins forts que les London Irish que vous avez battus en quarts de finale…
Non, toutes les équipes anglaises se valent. Pour avoir joué Bath en Coupe d’Europe il y a deux ans, je peux vous le confirmer. Ils étaient derniers à l’époque et on avait pris 40 points chez eux. Après, ça sera certainement plus fort que Worcester, notre adversaire en demi-finale, qui était assez faible sur le coup. Là, ça va être un autre gabarit, et puis on est attendu au tournant depuis le match face aux Irish. Il n’y a plus d’effet de surprise. On a un ticket à aller chercher pour la H-Cup. Northampton est dans le même cas que nous. Ça sera une belle finale !
Huit cents supporters vont faire le déplacement à Londres pour cette rencontre…
C’est vrai qu’il y a eu un bel engouement au niveau des supporteurs. Il va falloir se défoncer pour ces gens qui vont faire trente-cinq heures de car pour nous soutenir. On sait qu’il y a aussi pas mal de personnes qui souhaitent qu’on perde (en gagnant la finale, Bourgoin priverait le 6e du classement d’une place en H-Cup, ndlr). Mais même si ça arrive, j’espère qu’on sortira grandi de cette rencontre.

comme lui par exemple ....

Sieur Solo,
J'ai beau chercher une pin up blonde qui ait pour nom Northampton... je trouve pas !
Juste Miss Northampton 2008... une brunette pas trop vilaine...

Spoiler:

Comme le dit Boyet dans l'article que tu viens de poster, j'espère aussi que ce sera une belle finale.
Sur ce coup là on n'est peut-être pas du même bord mais je pense que l'on souhaite tous les deux voir un beau match.
Alors sans rancune et bon match Solo....

Tu l'as dit ma biquette ... mais avoue que le challenge est drôlement excitant ...

Un bon mot pour d'Alphonse Allais ..

L'Angleterre, c'est un pays extraordinaire. Ils sont complètement fous! Chez nous, toutes les rues portent des noms de victoires: Wagram, Austerlitz... Tandis que là-bas: Trafalgar Square, Waterloo Place... Ils n'ont choisi que des noms de défaites!

J'espère qu'il y aura une rue ... Northampton Saints ...

HAN SOLO a écrit:

J'espère qu'il y aura une rue ... Northampton Saints ...

Tout dépend de quel côté de la Manche...

Bourgoin a perdu la finale du Challenge européen 15-3 face à Northamtpon.





C'est Parra et Wessel cassés ... c'est la fessée ...
Il aurait fallu un CSBJ puissance 10 pour vaincre ce soir face à la rudesse anglaise ... et face à un arbitrage pour le moins sévère à l'encontre des gars de la Bourbre ...
Je suis triste ... mais très fier de supporter cette équipe ...

La bichette ...
Franchement ... pas terribles ces SAINTS ... !

J'ai pas du mettre assez de cierges ...



le 23.05.2009 04h00



Malgré son courage et son abnégation en défense, le CSBJ a dû laisser le titre à Northampton


Quel crève-cœur ! Au terme d'un match haletant et prenant, mais sans essai, le CSBJ est tombé les armes à la main en finale du Challenge Européen.

Les Berjalliens ont été battus logiquement, impitoyablement par Northampton. Ce titre tant désiré, ils l'ont laissé échapper pour avoir trop subi tout au long d'une partie, où leurs adversaires ont joué constamment en avançant. Tel un rouleau compresseur, le club anglais a écrasé au fil des minutes les espérances « ciel et grenat ».

Emaillée de chamailleries et ponctuée de deux cartons jaunes (Parra, Best), la première mi-temps avait déjà été dominée par Northampton.

A l'intensité des Anglais, les Berjalliens rétorquèrent par un courage et une abnégation de tous les instants en défense.

Les coéquipiers de Frier offrirent leurs corps à la mitraille des avants de Northampton. Ils s'accrochèrent aux shorts de leurs adversaires et au score avec la détermination de naufragés à leur planche de salut.

Mais ils furent trois fois plus pénalisés (6 pénalités à 2) par un arbitre qui eut tendance à tourner la tête que d'un seul côté. Myler prit alors un malin plaisir à convertir les trois occasions qui s'offrirent à son pied droit.

En résumé, les défenses prirent le pas sur les attaques lors de ces quarante premières minutes plus engagées que spectaculaires, plus cloisonnées qu'ouvertes.

Les deux équipes ne se créèrent en effet qu'une seule occasion d'essai chacune. Au slalom de l'ailier droit Diggin, qui termina son action au pied, mais fut devancé dans l'en-but par Frier, son vis-à-vis Coux répondit par un raid solitaire dans la minute suivante.

Tant et si bien que le CSBJ arriva à la pause avec six points de retard (3-9), après que Parra eut réduit la marque sur pénalité.

La seconde mi-temps reprit sur le même tempo et un scénario similaire à la précédente avec Northampton, maître du ballon et du jeu, et des Berjaliens arc-boutés en défense. S'ils ne cédèrent quasiment aucun point à leurs adversaires, si ce n'est deux nouvelles pénalités de Myler, ils commencèrent à perdre la plupart des duels.

Le travail de sape du collectif anglais commençait à faire son œuvre.

Mené 15-3 à dix minutes de la fin, le CSBJ, sans solution jusqu'alors, devait prendre des risques pour renverser la vapeur.

Il joua alors tous les ballons. Tels des pyromanes, les coéquipiers de Frier allumèrent des brasiers de jeu aux quatre coins du terrain.

Sans succès, ni trop de lucidité.

Et, après une agression sur Parra, sorti sur blessure, la partie se termina dans la confusion avec, en prime, un carton rouge infligé à Thomas Genevois.

Le rêve « ciel et grenat » venait de tourner au cauchemar.

Du côté de Brive, finalement qualifié pour la Coupe d'Europe, on a dû pousser hier soir un gros « ouf » de soulagement...

Le Leinster a remporté la première coupe d'Europe de son histoire en venant à bout de Leicester (19-16). 2009 est bien l'année de l'Irlande.

Pas mécontent le Solo sur ce coup là !!!